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Power Rangers

É.-U. 2017. Science-fiction de Dean Israelite avec Naomi Scott, Dacre Montgomery, RJ Cyler. Après avoir découvert un vieux vaisseau spatial, cinq adolescents héritent de pouvoirs surnaturels, qu'ils exploitent pour protéger leur ville d'envahisseurs extraterrestres. Relance laide et débile d'une franchise moribonde. Scénario dépourvu d'idées neuves. Exécution impersonnelle. Trucages recyclés. Performance colorée de E. Banks. (sortie en salle: 24 mars 2017)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Power Rangers (Power Rangers)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 2017. Science-fiction de Dean Israelite avec Naomi Scott, Dacre Montgomery, RJ Cyler.

Après avoir découvert un vieux vaisseau spatial, cinq adolescents héritent de pouvoirs surnaturels, qu'ils exploitent pour protéger leur ville d'envahisseurs extraterrestres. Relance laide et débile d'une franchise moribonde. Scénario dépourvu d'idées neuves. Exécution impersonnelle. Trucages recyclés. Performance colorée de E. Banks. (sortie en salle: 24 mars 2017)

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Dans la petite ville d'Angel Grove, cinq adolescents rebelles, qui se rencontrent après la retenue, découvrent par hasard un vieux vaisseau spatial pendant une de leurs randonnées. En activant accidentellement un mécanisme secret, ils raniment l'esprit de Zordon, une entité extraterrestre. Laquelle leur révèle que le destin les a menés à ce vaisseau, pour les doter de pouvoirs surnaturels, qui feront d'eux des Power Rangers. Leur première mission: protéger Angel Grove d'une invasion extraterrestre menée par la redoutable Rita Repulsa, l'ennemie jurée de Zordon. Mais pour y parvenir, ces cinq jeunes qui n'en font qu'à leur tête devront d'abord apprendre à travailler ensemble.

L’AVIS DE MEDIAFILM

"Reboot" inutile d'une franchise moribonde depuis vingt ans, ce sous-TRANSFORMERS, réalisé de façon impersonnelle par Dean Israelite (PROJECT ALMANAC), marie laideur et débilité. Pire encore: tout semble emprunté à d'autres films; de l'ouverture qui s'inspire de BREAKFAST CLUB aux rares tentatives d'humour à la sauce TEENAGE MUTANT NINJA TURTLES, en passant par l'inévitable scène post-générique copiée sur la formule Marvel. Xénophobie, obsession de l'armement, apologie du travail en équipe, quête de la rédemption, cette radiographie du subconscient de l'Amérique profonde abrutit bien plus qu'elle ne divertit. Seuls éléments rédempteurs: la performance colorée et délicieusement outrancière d'Elizabeth Banks dans le rôle de la vilaine de service et un monstre géant en or d'une conception plutôt impressionnante. Pour le reste, ce "blockbuster" fauché, truffé d'effets spéciaux recyclés, est l'exemple parfait du film qui vise bas et rate quand même la cible.

Texte : Georges Privet

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