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La Tour sombre (The Dark Tower)

É.-U. 2017. Aventures de Nikolaj Arcel avec Idris Elba, Matthew McConaughey, Tom Taylor. Un garçon se retrouve transporté dans une autre dimension, où un chevalier affronte un diable surpuissant pour la sauvegarde d'une tour mythique, dont dépend la survie de notre monde. Adaptation réductrice du grand cycle romanesque de Stephen King. Scénario aux airs de bande-annonce. Réalisation élégante mais banale. Stars rivalisant de charisme dans des rôles archétypaux. (sortie en salle: 4 août 2017)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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La Tour sombre (The Dark Tower)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 2017. Aventures de Nikolaj Arcel avec Idris Elba, Matthew McConaughey, Tom Taylor.

Un garçon se retrouve transporté dans une autre dimension, où un chevalier affronte un diable surpuissant pour la sauvegarde d'une tour mythique, dont dépend la survie de notre monde. Adaptation réductrice du grand cycle romanesque de Stephen King. Scénario aux airs de bande-annonce. Réalisation élégante mais banale. Stars rivalisant de charisme dans des rôles archétypaux. (sortie en salle: 4 août 2017)

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Jake Chambers est hanté par d'étranges visions d'un monde parallèle. Alors qu'il s'aventure dans une maison abandonnée, le garçon découvre un passage qui le catapulte dans cet autre univers. Il y fait la connaissance de Roland Deschain, dit Le Pistolero, dernier descendant d'une longue lignée de Chevaliers voués à protéger le monde des forces du mal. Et plus particulièrement de Walter O'Dim, démon surpuissant surnommé l'Homme en noir. Jake découvre rapidement que Roland et Walter ont tous deux un objectif commun: la Tour Sombre, un lieu mythique liant tous les mondes entre eux, et dont la destruction signifierait la fin de tous les univers.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce projet très singulier se veut à la fois la suite du long cycle de romans de Stephen King et l'amorce d'une éventuelle série télévisée, entrecoupée d'autres volets tirés de ses livres. On ne s'étonnera donc pas que l'oeuvre de Nikolaj Arcel (A ROYAL AFFAIR) prenne vite les airs d'un "best of" réducteur qui, à force de distiller le cycle romanesque à sa plus simple expression, ressemble à un mélange simpliste de ses sources d'inspiration (la légende arthurienne, "Le seigneur des anneaux" et les films de Sergio Leone, pour ne nommer que ceux-là). Si l'illustration est généralement élégante, elle est aussi dépourvue d'imagination et peine à créer l'univers foisonnant d'un cycle mêlant fantaisie, western, horreur et science-fiction. Reste le duel épique des deux acteurs principaux, qui rivalisent de charisme dans des rôles archétypaux, perdus dans un long métrage qui ressemble moins à un film qu'à l'interminable bande-annonce d'une très longue minisérie.

Texte : Georges Privet

COMMENTAIRES

22 août 2018, 12:06:04

Par : Michaël Gagnon, Sherbrooke

Scénario abracadabrant sur le thème de l’affrontement entre le Bien et le Mal. Réalisation précipitée. Traitement simpliste et puéril. Suspense faible. Mise en scène et photographie de métier. Effets visuels corrects, sans plus. Psychologie des personnages sommaire. Affrontement final peu inspiré. Interprétation convenable. M. McConaughey mal à l’aise.

J'attribue à ce film la Cote 3


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