Journey to the West - The Demons Strike Back (Xi You Fu Yao Pian)

Chin. 2017. Aventures de Tsui Hark avec Kris Wu, Kenny Lin, Yao Chen. Dans un passé féerique, un moine bouddhiste et un singe aux pouvoirs magiques combattent de multiples démons durant un voyage périlleux aux confins de l'Inde. Suite puérile d'un film à succès déjanté. Scénario usé et répétitif. Mise en scène exubérante et bizarre, à mi-chemin entre "La Matrice" et Bollywood. Interprétation grand-guignolesque. (sortie en salle: 3 février 2017)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)

Journey to the West - The Demons Strike Back (Xi You Fu Yao Pian)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)

Chin. 2017. Aventures de Tsui Hark avec Kris Wu, Kenny Lin, Yao Chen.

Dans un passé féerique, un moine bouddhiste et un singe aux pouvoirs magiques combattent de multiples démons durant un voyage périlleux aux confins de l'Inde. Suite puérile d'un film à succès déjanté. Scénario usé et répétitif. Mise en scène exubérante et bizarre, à mi-chemin entre "La Matrice" et Bollywood. Interprétation grand-guignolesque. (sortie en salle: 3 février 2017)

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Genre :

Aventures

Année :

2017

Durée :

109 min.

Réalisation :

Tsui Hark

Scénario :

Stephen Chow

Pays :

Chine

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

Kris Wu
Kenny Lin
Yao Chen
Mengke Bateer
Wang Duo

Courageux mais excentrique, le moine Tang Sanzang poursuit son voyage vers l'Ouest, à la recherche de soutras bouddhistes. Accompagné d'un singe aux pouvoirs magiques qu'il a vaincu et dompté, Tang affronte de nombreux démons, dont une araignée qui a le corps d'une sirène, une femme-fantôme à la recherche de son meurtrier et un chérubin satanique qui tient un royaume entier en otage.

L’AVIS DE MEDIAFILM

En 2012, Stephen Chow (SHAOLIN SOCCER) domine le box-office chinois avec JOURNEY TO THE WEST - CONQUERING THE DEMONS (inédit au Québec). Pour ce deuxième épisode, Chow, toujours à la scénarisation, a fait appel au metteur en scène Tsui Hark (IL ÉTAIT UNE FOIS EN CHINE 1, 2 et 3). Hélas, la collaboration attendue entre ces deux artistes de renom ne produit pas les effets escomptés, l'irrésistible humour du premier étant délaissé au profit de la recherche d'exubérance visuelle du second. Résultat: une superproduction frénétique mais juvénile et répétitive, qui amuse brièvement mais lasse rapidement. Une mise en scène délirante et bizarre, au carrefour de THE MATRIX, les premiers GODZILLA et les comédies musicales de Bollywood, n'est pas rendue plus digeste par une interprétation grand-guignolesque et des effets spéciaux approximatifs.

Texte : Georges Privet

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