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Fireworks (Uchiage Hanabi, Shita Kara Miru Ka? Yoko Kara Miru Ka?)

Jap. 2017. Film d'animation de Akiyuki Shimbo, Nobiyuki Takeuchi . Une bille magique permet à un adolescent de modifier des moments de la journée, de façon à renforcer sa relation avec une camarade de classe en fugue dont il est épris. Intrigue candide et puérile. Retournements à l'eau de rose. Hyperréalisme impressionnant sur le plan visuel. (sortie en salle: 5 octobre 2018)

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Fireworks (Uchiage Hanabi, Shita Kara Miru Ka? Yoko Kara Miru Ka?)

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Jap. 2017. Film d'animation de Akiyuki Shimbo, Nobiyuki Takeuchi .

Une bille magique permet à un adolescent de modifier des moments de la journée, de façon à renforcer sa relation avec une camarade de classe en fugue dont il est épris. Intrigue candide et puérile. Retournements à l'eau de rose. Hyperréalisme impressionnant sur le plan visuel. (sortie en salle: 5 octobre 2018)

Genre :
Année :
Durée :
Scénario :
Hitoshi Ohne
D'après l'oeuvre de Shunji Iwai
Musique :
Pays :
Un débat fait rage parmi des élèves du secondaire: les feux d'artifice sont-ils ronds ou plats lorsqu'on les observe de côté? Norimichi et Yosuki proposent à tous de trancher cette question ce soir, à l'occasion d'un nouveau spectacle pyrotechnique. Mais Nazuna, une camarade de classe dont sont épris les deux garçons, invite le premier à l'accompagner, au grand dam du second. Toutefois, l'adolescente a d'autres plans. Refusant de suivre sa mère, qui compte se remarier dans une autre ville, Nazuna profite de la sortie avec Norimichi pour fuir avec lui à Tokyo. Désemparé par la situation, ce dernier utilise une bille multicolore magique qu'il a récemment trouvée, pour modifier les événements de la journée et renforcer sa relation avec la jeune fille. Mais le monde se transformant à chaque retour dans le temps, les amoureux doivent choisir dans lequel ils veulent vivre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

FIREWORKS s'inscrit dans une certaine tendance du film d'animation japonais, où l'hyperréalisme des décors et des lieux tranche avec la conception plus traditionnelle des personnages, dont les grands yeux rappellent "Minifée" et le graphisme des mangas. Visuellement, l'ensemble impressionne, par le foisonnement des couleurs, la fluidité du mouvement et l'incandescence de la lumière ambiante. Mais le scénario n'est pas à la hauteur des moyens artistiques déployés. Malgré une fascinante prémisse à la GROUNDHOG DAY, l'intrigue est d'une candeur déconcertante, avec des revirements à l'eau de rose. La profondeur du propos est au reste annihilée par l'immaturité et les comportements puérils des personnages masculins.

Texte : André Caron

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