Go to main content
4

While the Women Are Sleeping

Jap. 2016. Drame de Wayne Wang avec Hidetoshi Nishijima, Takeshi Kitano, Shiori Kutsuna. En vacances dans une station balnéaire, un écrivain en quête d'inspiration est fasciné par la présence dans son hôtel d'un vieil homme accompagné par une très jeune femme. Oeuvre orphéesque sur l'illusion amoureuse, inspirée d'une nouvelle de Javier Marias. Réalisation parfois ostentatoire. Forte présence de T. Kitano.

En attente de classement
4

While the Women Are Sleeping (While the Women Are Sleeping)

En attente de classement En attente de classement

Jap. 2016. Drame de Wayne Wang avec Hidetoshi Nishijima, Takeshi Kitano, Shiori Kutsuna.

En vacances dans une station balnéaire, un écrivain en quête d'inspiration est fasciné par la présence dans son hôtel d'un vieil homme accompagné par une très jeune femme. Oeuvre orphéesque sur l'illusion amoureuse, inspirée d'une nouvelle de Javier Marias. Réalisation parfois ostentatoire. Forte présence de T. Kitano.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Musique :
Montage :
Kenji passe quelque temps avec son épouse Aya dans un hôtel au bord de la mer. Tandis qu'elle cumule les rendez-vous professionnels, lui espère trouver l'inspiration d'un nouveau roman, ses deux premiers ayant remporté beaucoup de succès. Son attention est attirée par la présence au bord de la piscine d'un vieil homme, le docteur Sahara, et d'une très belle jeune femme, Nikki, qu'il croit être sa fille. Lors d'une conversation impromptue entre les deux hommes, durant une nuit où Aya et Nikki sont endormies dans leurs chambres respectives, Kenji se fait offrir un aperçu de l'envers du décor. Au cours des jours suivants, il voudra en savoir plus.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le Hong-Kongais Wayne Wang, qui a longtemps travaillé aux États-Unis (THE JOY LUCK CLUB, SMOKE, MAID IN MANHATTAN), adapte ici, avec une inspiration mesurée, une nouvelle de l'écrivain espagnol Javier Marias. Campée dans un décor maritime bien exploité, cette oeuvre orphéesque sur l'illusion amoureuse évoque par moments le VERTIGO d'Hitchcock, et à un degré moindre, les labyrinthes de David Lynch. La forte présence de Takeshi Kitano ajoute un certain poids au film et contribue pour beaucoup à son caractère insolite. Cela dit, l'intrigue s'enroule sur elle-même et, en quête perpétuelle d'un angle insolite, le cinéaste donne souvent l'impression d'en faire trop. (Texte rédigé en février 2016, dans le cadre du Festival de Berlin)

Texte : Martin Bilodeau

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3