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Voyage of Time

É.-U. 2016. Film d'essai de Terrence Malick . L'histoire de la création de l'univers et des grandes étapes de la vie sur Terre, à travers une célébration de la nature. Méditation poétique sur le passé et l'avenir du monde. Propos aux accents nouvel-âge. Assemblage raffiné d'images léchées et évocatrices. Récitation un peu terne de C. Blanchett.

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Voyage of Time (Voyage of Time)

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É.-U. 2016. Film d'essai de Terrence Malick .

L'histoire de la création de l'univers et des grandes étapes de la vie sur Terre, à travers une célébration de la nature. Méditation poétique sur le passé et l'avenir du monde. Propos aux accents nouvel-âge. Assemblage raffiné d'images léchées et évocatrices. Récitation un peu terne de C. Blanchett.

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n/d
L'histoire de la création de l'univers et des grandes étapes de la vie sur Terre, ponctuée par la récitation d'une ode à la nature, célèbrant aussi bien sa grandeur, sa puissance et sa beauté, que ses aspects impitoyables et cruels. Des images captées de nos jours dans différents coins du monde, illustrant autant la misère humaine que les moments festifs, viennent compléter l'expérience du spectateur.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Développée depuis plus de dix ans par Terrence Malick - un segment apparaissait dans son TREE OF LIFE -, cette ambitieuse et personnelle méditation sur le passé et l'avenir du monde se présente dans un assemblage raffiné d'images léchées et évocatrices. Des confins du cosmos à l'infiniment petit, l'auteur illustre avec puissance les phénomènes cataclysmiques qui remodèlent le relief terrestre. Il ne s'agit donc pas d'une réflexion scientifique à la BRIEF HISTORY OF TIME, mais davantage d'un voyage visuel à la KOYAANISQATSI, exempt de dénonciation sur le gaspillage des ressources et la pollution. Cela dit, plusieurs images rappellent celles de documentaires spécialisés, de sorte que les moments de transcendance se font rares. Le recours excessif à des messes de Bach et autres oeuvres classiques manquent elles aussi d'émouvoir le spectateur. En outre, la reconstitution de l'époque préhistorique apparaît un peu naïve. Enfin, Cate Blanchett lit de manière plutôt terne le poème aux forts accents nouvel-âge écrit par Malick. (Texte rédigé en septembre 2016, dans le cadre du Festival international du film de Toronto)

Texte : Louis-Paul Rioux

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