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The Second Time Around

Can. 2016. Comédie sentimentale de Leon Marr avec Linda Thorson, Stuart Margolin, Laura de Carteret. Dans un centre pour personnes âgées, l'idylle inattendue d'une Torontoise raffinée et d'un tailleur polonais grognon, tous deux mélomanes. Récit convenu sur les ultimes surprises de la vie. Humour et dialogues inégaux. Réalisation transparente. Musique répétitive. Jeu complice et émouvant des deux vedettes. (sortie en salle: 24 mars 2017)

Général
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The Second Time Around (The Second Time Around)

Général Général

Can. 2016. Comédie sentimentale de Leon Marr avec Linda Thorson, Stuart Margolin, Laura de Carteret.

Dans un centre pour personnes âgées, l'idylle inattendue d'une Torontoise raffinée et d'un tailleur polonais grognon, tous deux mélomanes. Récit convenu sur les ultimes surprises de la vie. Humour et dialogues inégaux. Réalisation transparente. Musique répétitive. Jeu complice et émouvant des deux vedettes. (sortie en salle: 24 mars 2017)

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Blessée à la hanche lors d'une chute à la sortie de l'opéra, Catherine se voit obligée d'aller vivre, le temps de sa convalescence, dans un centre pour personnes âgées. Entre les visites de sa petite-fille au tempérament artistique et celles, plus rares, de sa fille carriériste, la Torontoise aux goûts raffinés s'habitue à la présence et à la conversation des autres résidents. Quand elle admet, lors d'un petit-déjeuner, qu'elle a déchiré sa jupe par maladresse, on lui présente Isaac, un tailleur polonais grognon mais particulièrement habile. De cette rencontre naît une idylle, fondée sur leur amour mutuel de la musique classique. Cependant, la maladie et les problèmes familiaux menacent l'épanouissement d'une passion que ni Catherine ni Isaac n'espéraient plus.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Dans son premier long métrage depuis plus de trente ans, Leon Marr (DANCING IN THE DARK) propose un récit charmant mais léger sur les douces et ultimes surprises de la vie. Mise en scène sans tonus, tapissée de musique classique parfois agaçante dans sa grandiloquence, ses répétitions et le choix convenu de ses morceaux, l'intrigue amoureuse ne réserve aucune surprise. Vrai que quelques scènes, comme celle où chaque personnage se prépare pour le bal, peuvent être qualifiées d'authentiquement cocasses. En revanche, d'autres témoignent d'un sens de l'humour carrément ringard. La qualité des dialogues souffre elle aussi d'inconstance, sauf lors de séquences, précieuses, où la protagoniste tisse une relation étonnamment chaleureuse avec sa petite-fille, dont le caractère est aux antipodes du sien. Si l'interprétation d'ensemble est inégale, la chimie opère entre Linda Thorson et Stuart Margolin. Grâce à leur belle complicité, le film connaît quelques moments fort émouvants.

Texte : Jonathan Guilbault

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