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Ne dis rien (The Bye Bye Man)

É.-U. 2016. Drame d'horreur de Stacy Title avec Lucien Laviscount, Douglas Smith, Cressida Bonas. Trois universitaires habitent une maison visitée par une entité maléfique, qui contrôle l'esprit de ses victimes dès que l'on pense à elle ou que l'on prononce son nom. Scénario pauvre recyclant des éléments de "Candyman" et "Les griffes de la nuit". Réalisation sans relief. F. Dunaway perdue au milieu d'une distribution frôlant l'amateurisme. (sortie en salle: 13 janvier 2017)

13 ans + (violence, horreur)
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Ne dis rien (The Bye Bye Man)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 2016. Drame d'horreur de Stacy Title avec Lucien Laviscount, Douglas Smith, Cressida Bonas.

Trois universitaires habitent une maison visitée par une entité maléfique, qui contrôle l'esprit de ses victimes dès que l'on pense à elle ou que l'on prononce son nom. Scénario pauvre recyclant des éléments de "Candyman" et "Les griffes de la nuit". Réalisation sans relief. F. Dunaway perdue au milieu d'une distribution frôlant l'amateurisme. (sortie en salle: 13 janvier 2017)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Jonathan Penner
D'après l'oeuvre de Robert Damon Schneck
Photographie :
Montage :
Trois étudiants, qui louent une maison près de leur université dans une banlieue du Wisconsin, découvrent que celle-ci est visitée par le "Bye Bye Man", une entité maléfique qui contrôle l'esprit de ses victimes dès que l'on pense à elle ou que l'on prononce son nom. Les nouveaux venus apprennent alors qu'il y a quarante ans dans ce même quartier, avait eu lieu un massacre perpétré par un tueur en série particulièrement sanguinaire.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Empruntant l'essentiel de ses idées à une demi-douzaine de classiques du genre, allant de CANDYMAN à A NIGHTMARE ON ELM STREET, ce film d'horreur générique (qui sort après avoir dormi deux ans sur les tablettes) repose sur un scénario et une réalisation dénués de relief et d'invention. Maladroitement conçu et éxécuté, l'ensemble offre peu de moments d'angoisse, et ses rares scènes-chocs sont minées par des effets spéciaux à rabais, ainsi que par les performances d'acteurs de seconde zone, dont certains (comme Cressida Bonas) frôlent l'amateurisme. De fait, la chose la plus terrifiante dans ce film quelconque est d'y retrouver Faye Dunaway et Carrie-Anne Moss, dans des rôles qui sont nettement en-deçà de leur statut et de leur talent. Conformément aux règles du genre, la conclusion ouvre la porte à une suite ou deux, même si celles-ci paraissent aussi peu probables que souhaitables.

Texte : Georges Privet

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