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Le Pacte des anges

Can. 2016. Drame de Richard Angers avec Marc Messier, Émile Schneider, Lenni-Kim Lalande. Kidnappé par deux jeunes qu'il avait surpris en train de commettre un meurtre, un chasseur est forcé de les conduire en Gaspésie. Road movie bien construit mais prévisible. Des longueurs. Réalisation sensible. Photographie soignée et atmosphérique. É. Schneider convaincant au sein d'une distribution inégale. (sortie en salle: 4 novembre 2016)

13 ans +
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Le Pacte des anges (Le Pacte des anges)

13 ans + 13 ans +

Can. 2016. Drame de Richard Angers avec Marc Messier, Émile Schneider, Lenni-Kim Lalande.

Kidnappé par deux jeunes qu'il avait surpris en train de commettre un meurtre, un chasseur est forcé de les conduire en Gaspésie. Road movie bien construit mais prévisible. Des longueurs. Réalisation sensible. Photographie soignée et atmosphérique. É. Schneider convaincant au sein d'une distribution inégale. (sortie en salle: 4 novembre 2016)

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Un soir, au détour d'une ruelle, un homme qui rentre de la chasse en voiture tombe par hasard sur une échauffourée mortelle, impliquant un adolescent de quatorze ans et son grand frère, âgé de dix-huit ans. Dans la panique qui s'ensuit, les deux jeunes prennent en otage ce témoin gênant et l'entraînent dans leur fuite improvisée, sur les routes de la Gaspésie. Chemin faisant, les ravisseurs et leur victime apprennent à se connaître et à se comprendre, tandis que les forces de police se rapprochent inexorablement d'eux.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce drame psychologique sur fond de road movie explore des thèmes classiques (relations père-fils, transmission des valeurs, attachement à la terre) au fil d'un scénario bien construit, mais dont les rebondissements se révèlent malheureusement toujours prévisibles. Une réalisation sensible, une photographie atmosphérique et plusieurs plans aériens magnifiques rehaussent ce film lent et sans surprise, défendu par un trio d'acteurs talentueux, où chacun à des moments forts, sans qu'aucun - à l'exception d'Émile Schneider - ne convainque vraiment d'un bout à l'autre. Restent une belle séquence montée sur une chanson de Richard Desjardins, une utilisation de la chasse qui rappelle UN ZOO, LA NUIT, et quelques moments forts qui se démarquent d'un film un peu trop lisse et sage, en contradiction avec la folie et la passion qui animent ses personnages.

Texte : Georges Privet

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