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La Cité perdue de Z (The Lost City of Z)

É.-U. 2016. Aventures de James Gray avec Charlie Hunnam, Robert Pattinson, Sienna Miller. Au début du XXe siècle, le militaire anglais Percival Fawcett se lance dans une série d'expéditions en Amazonie, à la recherche d'une ancienne cité perdue. Drame à la fois épique et intime, tiré d'une histoire vraie. Scénario ambitieux opposant nature et civilisation. Quelques longueurs. Forme classique inspirée. Fiévreux C. Hunnam. (sortie en salle: 21 avril 2017)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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La Cité perdue de Z (The Lost City of Z)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 2016. Aventures de James Gray avec Charlie Hunnam, Robert Pattinson, Sienna Miller.

Au début du XXe siècle, le militaire anglais Percival Fawcett se lance dans une série d'expéditions en Amazonie, à la recherche d'une ancienne cité perdue. Drame à la fois épique et intime, tiré d'une histoire vraie. Scénario ambitieux opposant nature et civilisation. Quelques longueurs. Forme classique inspirée. Fiévreux C. Hunnam. (sortie en salle: 21 avril 2017)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
James Gray
D'après le livre de David Grann
Photographie :
Musique :
En 1906, à la demande de la Société géographique d'Angleterre, Percival Fawcett part cartographier la frontière entre le Brésil et la Bolivie. Laissant derrière lui femme et enfants, l'ambitieux militaire, qui veut faire oublier la mauvaise réputation de son père, met toute sa passion dans cette expédition. Au coeur de l'Amazonie, il découvre ce qui semble être les traces d'une civilisation disparue. De retour en Europe, Fawcett, raillé par ses collègues, se prend à rêver de retrouver les vestiges de ce monde perdu. L'appel de l'aventure étant plus fort que l'amour qu'il ressent pour les siens, Fawcett repart pour une nouvelle expédition en Amazonie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Délaissant pour une fois son habituel décor new-yorkais (LITTLE ODESSA, THE YARDS, THE IMMIGRANT), mais non sa réflexion pénétrante sur les conflits de classe et les liens familiaux, James Gray suit en Amérique du Sud un homme qui a tourné le dos à son milieu pour se lancer dans une quête obsédante d'un nouveau monde. Drame à la fois épique et intime, qui renvoie dos à dos nature et civilisation, LOST CITY OF Z est une oeuvre dépaysante qui a les vertus d'une autre époque: somptueuses images en 35 mm; scénario d'une rare ambition narrative et thématique; mise en scène d'un classicisme éclectique évoquant tour à tour Coppola, Herzog et Lean. Porté par le jeu fiévreux de Charlie Hunnam (NICOLAS NICKLEBY, PACIFIC RIM), un emploi habile des ellipses et une finale merveilleusement ambiguë, ce voyage au coeur des ténèbres constitue - malgré quelques longueurs - une expérience véritablement cinématographique, que le spectateur n'oubliera pas de sitôt.

Texte : Georges Privet

COMMENTAIRES

05 mars 2018, 00:21:15

Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières

Un film d'aventures soigné à la photographie sublime. La quête du personnage principal devient une sorte de mal être existentiel fascinant. L'ensemble est un peu long et peut devenir répétitif mais l'intelligence du scénario et de la réalisation compense ces défauts. Et la fin nous laisse un peu dans le mystère, il n'y aura pas de scène de découverte comme dans un INDIANA JONES...

J'attribue à ce film la Cote 3


Revue de presse

Film Review

As opposite as it can be from more poetic art house adventure on similar subject, such as Werner Herzog’s AGUIRRE - THE WRATH OF GOD (1972), it is nonetheless effective and exotic, if conventional.

Cité perdue de Z, La James Gray

New York Film Review

THE LOST CITY OF Z is a finely crafted, elegantly shot, sharply sincere movie that is more absorbing than powerful. It makes no major dramatic missteps, yet it could have used an added dimension — something to make the two-hour-and-20-minute running time feel like a transformative journey rather than an epic anecdotal crusade.

Cité perdue de Z, La James Gray

Une véritable aventure de cinéma

Les vraies stars de ce film sont le directeur-photo Darius Khondji, qui signe de sublimes images, et James Gray, qui nous entraîne dans une véritable aventure cinématographique.

Cité perdue de Z, La James Gray

Critique

Au long des péripéties du scénario, s'il est vrai que surgissent tour à tour des visuels tintinesques, coppoliens, spielbergiens ou herzogiens, c'est bien le regard de James Gray, son génie à explorer l'univers masculin dont les intrépidités parfois mortifères se confrontent à l'indulgence vitale des femmes, qui imprime sa marque au souffle puissant de ce spectacle.

Cité perdue de Z, La James Gray

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