É.-U. 2016. Drame d'horreur de William Kaufman avec Johnny Strong, Chelsea Edmundson, Lance Henriksen. Aux côtés d'un petit groupe de survivants, un vengeur solitaire affronte à Dallas une horde de zombies qui n'attaquent que la nuit. Intrigue simple mais solide, prétexte à de nombreuses fusillades musclées. Renouvellement des recettes du genre. Réalisation efficace et sans temps morts. Interprétation convaincante.
Aux côtés d'un petit groupe de survivants, un vengeur solitaire affronte à Dallas une horde de zombies qui n'attaquent que la nuit. Intrigue simple mais solide, prétexte à de nombreuses fusillades musclées. Renouvellement des recettes du genre. Réalisation efficace et sans temps morts. Interprétation convaincante.
Après le thriller (MARINE 4) et le drame de guerre (JARHEAD 3), William Kaufman s'essaie maintenant au film de zombies, avec un certain succès. Certes, l'intrigue de DAYLIGHT'S END s'avère très classique, n'étant qu'un mince prétexte pour enchaîner les fusillades spectaculaires. Ceci dit, Kaufman exploite bien les décors et le contexte du huis clos, tout en introduisant plusieurs éléments qui viennent renouveler et pimenter le genre. Allant droit à l'essentiel, la réalisation est efficace et sans temps morts. Avec son look à la Mad Max, Johnny Strong bouge plus qu'il ne joue, mais il se révèle tout de même convaincant en vengeur implacable. Face à lui, le vétéran Lance Henriksen offre un jeu sobre et solide.
Texte : Olivier Lefébure