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Daylight's End

É.-U. 2016. Drame d'horreur de William Kaufman avec Johnny Strong, Chelsea Edmundson, Lance Henriksen. Aux côtés d'un petit groupe de survivants, un vengeur solitaire affronte à Dallas une horde de zombies qui n'attaquent que la nuit. Intrigue simple mais solide, prétexte à de nombreuses fusillades musclées. Renouvellement des recettes du genre. Réalisation efficace et sans temps morts. Interprétation convaincante.

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Daylight's End (Daylight's End)

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É.-U. 2016. Drame d'horreur de William Kaufman avec Johnny Strong, Chelsea Edmundson, Lance Henriksen.

Aux côtés d'un petit groupe de survivants, un vengeur solitaire affronte à Dallas une horde de zombies qui n'attaquent que la nuit. Intrigue simple mais solide, prétexte à de nombreuses fusillades musclées. Renouvellement des recettes du genre. Réalisation efficace et sans temps morts. Interprétation convaincante.

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Rourke traque en solitaire les zombies, qu'il élimine sans état d'âme. Un jour, dans une petite ville, il sauve la vie de Sam, une jeune femme qu'une poignée de salopards s'apprêtait à violer. Contre la promesse d'essence et de munitions, le vengeur taciturne accepte de la ramener à Dallas, où elle vit retranchée dans un immeuble municipal avec d'autres survivants. L'arrivée de Rourke déplaît à tout le monde, particulièrement au vieux Frank, qui commande la petite communauté. Toutefois, lorsque des morts-vivants réussissent à pénétrer dans le bâtiment, l'aide du nouveau venu s'avère précieuse. Au matin, les deux hommes cèlent une entente: Frank respectera la promesse de Sam et Rourke les aidera à affronter les zombies, qui n'attaquent que la nuit.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après le thriller (MARINE 4) et le drame de guerre (JARHEAD 3), William Kaufman s'essaie maintenant au film de zombies, avec un certain succès. Certes, l'intrigue de DAYLIGHT'S END s'avère très classique, n'étant qu'un mince prétexte pour enchaîner les fusillades spectaculaires. Ceci dit, Kaufman exploite bien les décors et le contexte du huis clos, tout en introduisant plusieurs éléments qui viennent renouveler et pimenter le genre. Allant droit à l'essentiel, la réalisation est efficace et sans temps morts. Avec son look à la Mad Max, Johnny Strong bouge plus qu'il ne joue, mais il se révèle tout de même convaincant en vengeur implacable. Face à lui, le vétéran Lance Henriksen offre un jeu sobre et solide.

Texte : Olivier Lefébure

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