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Course à la mort 2050 (Roger Corman's Death Race 2050)

É.-U. 2016. Comédie sportive de G. J. Echternkamp avec Manu Bennett, Marci Miller, Malcolm McDowell. En 2050, cinq coureurs automobiles s'affrontent dans une course mortelle où l'objectif est de relier New York à Los Angeles en écrasant le plus de piétons possible. Remake débile et indigeste d'une série B des années 1970. Intrigue minimaliste d'une rare crétinerie. Traitement cartoonesque et gore d'une grande vulgarité. Réalisation indigente. Interprétation exécrable.

13 ans + (violence, langage vulgaire)
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Course à la mort 2050 (Roger Corman's Death Race 2050)

13 ans + (violence, langage vulgaire) 13 ans + (violence, langage vulgaire)

É.-U. 2016. Comédie sportive de G. J. Echternkamp avec Manu Bennett, Marci Miller, Malcolm McDowell.

En 2050, cinq coureurs automobiles s'affrontent dans une course mortelle où l'objectif est de relier New York à Los Angeles en écrasant le plus de piétons possible. Remake débile et indigeste d'une série B des années 1970. Intrigue minimaliste d'une rare crétinerie. Traitement cartoonesque et gore d'une grande vulgarité. Réalisation indigente. Interprétation exécrable.

En 2050, pour lutter contre la surpopulation tout en divertissant le peuple, le gouvernement des United Corporations of America (anciennement États-Unis) organise annuellement une grande course mortelle à travers le pays, diffusée en direct à la télévision. L'objectif de cette compétition est de relier New York à Los Angeles en trois jours et d'accumuler un maximum de points en écrasant le plus de piétons possible. Cinq redoutables pilotes se présentent sur la ligne de départ avec leurs véhicules de mort. Parmi eux, le célèbre Frankenstein, bien décidé à employer tous les moyens pour conserver son titre de champion.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Produite par Roger Corman, cette pathétique série Z, remake d'une série B des années 1970, atteint les tréfonds de la médiocrité. D'une rare crétinerie, l'intrigue minimaliste se limite à une interminable et soporifique course-poursuite entre véhicules bricolés à la va-vite avec quelques planches de contreplaqué. Le tout est entrecoupé de scènes gore ridicules, de nudité gratuite et d'apparitions grotesques de Malcolm McDowell. Le traitement cartoonesque de ce salmigondis indigeste se veut parodique et satirique, mais en l'absence de tout rire et de second degré, il n'est que débile et vulgaire. À la réalisation, G. J. Echternkamp échoue lamentablement à imprimer le moindre rythme aux séquences d'action. La distribution au grand complet est exécrable.

Texte : Olivier Lefébure

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