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Ballerina (Leap!)

Fr. 2016. Film d'animation de Eric Summer, Éric Warin . Avec son ami espiègle, une fillette s'enfuit de son orphelinat de Bretagne et se rend à Paris, où elle tente d'être admise comme ballerine au sein de la troupe de l'Opéra Garnier. Production ambitieuse mais d'aspect générique. Intrigue formatée, aux enjeux connus. Certaines péripéties enlevées. Standards d'animation assez élevés. (sortie en salle: 24 février 2017)

Général
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Ballerina (Leap!)

Général Général

Fr. 2016. Film d'animation de Eric Summer, Éric Warin .

Avec son ami espiègle, une fillette s'enfuit de son orphelinat de Bretagne et se rend à Paris, où elle tente d'être admise comme ballerine au sein de la troupe de l'Opéra Garnier. Production ambitieuse mais d'aspect générique. Intrigue formatée, aux enjeux connus. Certaines péripéties enlevées. Standards d'animation assez élevés. (sortie en salle: 24 février 2017)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
Distributeur :
Les Films Séville
Entraînée par Victor, son ami espiègle, Félicie s'enfuit de son orphelinat de Bretagne. Les deux enfants sont aussitôt pris en chasse par Mérante, le méchant gardien de l'établissement. Mais au terme d'une longue course à obstacles, le duo sème le poursuivant et parvient à Paris, au pied de la tour Eiffel en construction. Victor veut devenir inventeur. Félicie aimerait danser à l'Opéra Garnier. Séparé temporairement, chacun trouve néanmoins son chemin dans le labyrinthe du Paris de la Belle Époque et franchit la première étape vers la réalisation de son rêve. Tandis que Victor est pris comme apprenti dans l'atelier de Gustave Eiffel, Félicie s'immisce dans les coulisses de l'opéra, où la concierge Odette, ancienne danseuse aujourd'hui infirme, lui offre sa protection. Un concours de circonstances amène bientôt la ballerine en herbe à prendre l'identité d'une détestable rivale, puis à intégrer l'école de l'Opéra, dirigée par un maître intransigeant.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le décor a beau être celui des grandes oeuvres de Victor Hugo, le coeur et l'esprit qui dominent cette production d'animation sont résolument américains. Pour ne pas dire disneyens. La convention étant pleinement assumée par les auteurs (Français tous les deux), reste aux spectateurs à tolérer qu'on y fredonne la chansonnette "in english" (la version originale du film est anglaise), au fil d'une intrigue formatée sur les thèmes de la quête identitaire et de la croyance en son étoile. Rien d'original ou de surprenant dans ce conte de fées aux péripéties parfois enlevées et aux standards assez élevés, en termes de dessin par ordinateur et de coloris. Dommage qu'au rendu, l'aspect général soit plutôt... générique.

Texte : Martin Bilodeau

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