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Tueur à gages - Agent 47 (Hitman - Agent 47)

É.-U. 2015. Thriller de Aleksander Bach avec Rupert Friend, Hannah Ware, Zachary Quinto. Afin de vaincre son pire ennemi, un assassin génétiquement modifié s'associe à une jeune femme qui détient le secret de ses origines. Adaptation générique d'un jeu vidéo. Production à rabais aux trucages parfois risibles. Scènes d'action bien filmées. Interprètes convaincants. (sortie en salle: 21 août 2015)

13 ans + (violence)
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Tueur à gages - Agent 47 (Hitman - Agent 47)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 2015. Thriller de Aleksander Bach avec Rupert Friend, Hannah Ware, Zachary Quinto.

Afin de vaincre son pire ennemi, un assassin génétiquement modifié s'associe à une jeune femme qui détient le secret de ses origines. Adaptation générique d'un jeu vidéo. Production à rabais aux trucages parfois risibles. Scènes d'action bien filmées. Interprètes convaincants. (sortie en salle: 21 août 2015)

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L'Agent 47 est le quarante-septième cobaye d'un programme expérimental imaginé par le Dr. Peter Litvenko, visant à créer génétiquement la parfaite machine à tuer. Quand une multinationale veut redémarrer ce programme dans le but de créer une armée de clones aux pouvoirs dépassant les siens, l'Agent 47 part en guerre contre l'organisation. Il se met alors à la recherche de la fille du docteur, Katia Van Dees, une mystérieuse jeune femme avec laquelle il semble entretenir une sorte de lien télépathique. Pour la retrouver, il doit toutefois déjouer le redoutable John Smith, un tueur à gages plein de ressources, qui le traque de Berlin à Singapour.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette adaptation d'un jeu vidéo, à mi-chemin entre TERMINATOR et MATRIX, s'avère efficace et parfois même astucieuse, sans toutefois parvenir à transcender ses origines génériques. Dans le rôle-titre, Rupert Friend (le Peter Quinn de la série "Homeland") parvient à prêter vie et nuances à un héros monolithique, et la jeune Hannah Ware (la série "Boss") s'impose avec force dans la peau d'une héroïne pleine de surprises. Mais malgré une direction artistique soignée (surtout dans le choix des décors extérieurs) et des scènes d'action bien filmées par le nouveau venu Aleksander Bach, l'ensemble, aux images de synthèse parfois risibles, fleure bon la production à rabais. Et comme tout cela a déjà été fait avant, et en mieux, il est difficile de ne pas avoir le sentiment d'être constamment en présence d'une copie inférieure. D'où l'impression d'un film qui est étrangement à l'image de son protagoniste: un clone qui se veut singulier, mais qui reste malgré tout un pur produit de série.

Texte : Georges Privet

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