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Robin des Bois, la véritable histoire

Fr. 2015. Comédie de Anthony Marciano avec Max Boublil, Géraldine Nakache, Malik Bentalha. Alors qu'il détrousse les plus faibles, le pleutre Robin des Bois s'acoquine avec le gang de Sherwood pour voler l'argent des impôts collecté par le vil shérif de Nottingham. Relecture laborieuse et vulgaire du mythe de Robin des Bois. Humour le plus souvent scatologique. Gags lourds tombant à plat. Réalisation manquant de rythme. Interprétation un peu molle.

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Robin des Bois, la véritable histoire (Robin des Bois, la véritable histoire)

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Fr. 2015. Comédie de Anthony Marciano avec Max Boublil, Géraldine Nakache, Malik Bentalha.

Alors qu'il détrousse les plus faibles, le pleutre Robin des Bois s'acoquine avec le gang de Sherwood pour voler l'argent des impôts collecté par le vil shérif de Nottingham. Relecture laborieuse et vulgaire du mythe de Robin des Bois. Humour le plus souvent scatologique. Gags lourds tombant à plat. Réalisation manquant de rythme. Interprétation un peu molle.

Aidé de son acolyte Tuck, le pleutre Robin des bois détrousse les femmes, les vieux et les plus faibles. Un concours de circonstances l'amène à s'acoquiner avec Petit Jean et le gang de Sherwood pour dérober l'argent des impôts collecté par le vil shérif de Nottingham. Toutefois, contrairement à ses nouveaux amis qui volent les riches pour redonner aux pauvres, Robin compte garder le butin pour lui seul et s'acheter un bar de danseuses.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Laborieuse, cette relecture du mythe de Robin des Bois se veut drôle et irrévérencieuse alors qu'elle n'est qu'ennui et vulgarité. L'humour se révèle d'ailleurs le plus souvent sexuel ou scatologique et les gags, lourds et prévisibles, tombent à plat. La réalisation d'Anthony Marciano (LES GAMINS) manque de rythme et l'ajout de musique pop n'apporte rien. Anachronique par son vocabulaire et le ton employé, le dialogue fait une ou deux fois mouche, mais aurait été plus percutant si l'équipe des comédiens avait eu un peu plus d'entrain. Globalement, l'interprétation s'avère au mieux décevante (Max Boublil) ou caricaturale (Gérard Darmon), au pire gênante dans le cas de Patrick Timsit.

Texte : Olivier Lefébure

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