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P.S. Jerusalem

Can. 2015. Documentaire de Danae Elon . Les difficultés d'adaptation d'une famille de Brooklyn nouvellement installée à Jérusalem, où la mère cinéaste est née. Manière unique d'aborder le politique par le biais de l'intime. Filmage de proximité proche du "home movie". Regard d'une rare franchise. Quelques longueurs. Témoignages émouvants. (sortie en salle: 24 mars 2017)

Général
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P.S. Jerusalem (P.S. Jerusalem)

Général Général

Can. 2015. Documentaire de Danae Elon .

Les difficultés d'adaptation d'une famille de Brooklyn nouvellement installée à Jérusalem, où la mère cinéaste est née. Manière unique d'aborder le politique par le biais de l'intime. Filmage de proximité proche du "home movie". Regard d'une rare franchise. Quelques longueurs. Témoignages émouvants. (sortie en salle: 24 mars 2017)

Genre :
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Distributeur :
Filmoption International
Défiant les dernières volontés de son père Amos Elon, célèbre intellectuel israélien souvent opposé aux politiques de son pays, la documentariste Danae Elon quitte Brooklyn avec son mari et leurs deux fils pour retourner vivre à Jérusalem, sa ville natale. Durant trois longues années, la cinéaste, qui a eu entretemps un troisième enfant, filme au quotidien les petits et grands problèmes qu'affrontent les siens dans cette ville qui a tant changé depuis son enfance. À commencer par l'apprentissage d'une nouvelle culture pour les petits et les difficultés de leur père à s'intégrer dans son pays d'adoption. Sans parler du climat de conflit qui oppose quotidiennement Israël à la Palestine, et qui menace parfois de diviser leur petite famille.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Dans sa manière unique d'aborder le politique par le biais de l'intime, Danae Elon (PARTLY PRIVATE) éclaire la difficulté de vivre "normalement" à Jérusalem. Capturant le quotidien de sa famille avec une franchise rare, et parfois même douloureuse, l'auteure accouche d'un film d'une candeur étonnante, dans lequel elle ne se donne pas toujours le beau rôle. Plus intéressant par ce qu'il montre que par sa manière de le montrer, ce documentaire se situe quelque part entre le journal intime, la chronique sociale et l'album de famille. Malgré quelques longueurs, il s'impose comme un témoignage émouvant sur les paradoxes d'un conflit bouleversant, filmé à hauteur de femme, d'homme et d'enfant.

Texte : Georges Privet

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