Stéphanie Belpèche - Le Journal du dimanche
Ça commence comme un huis clos. Ça finit comme un western. (...) Avec cette version moderne et sur asphalte de 100.000 DOLLARS AU SOLEIL, Frédéric Schoendoerffer rend une copie originale et musclée. Benoît Magimel confirme (...) qu’il a la gueule (...) d’un "beau voyou".
Thomas Sotinel - Le Monde
La distribution a beau être inégale, on trouve une certaine homogénéité de ton, de jeu chez [les] jeunes acteurs (...) qui donne souvent l’impression d’être assis sur le siège arrière. (...) Benoît Magimel (...) se comporte comme s’il était (...) Alain Delon chez José Giovanni, (...) silencieux et brut.
Éric Libiot - L'Express
C'est simple et direct, là où SWITCH ou 96 HEURES s'emberlificotaient dans la surenchère malhabile. C'est filmé sobre, là où TRUSANDS débordaient de la boîte. C'est assumé film d'action, flingues, barbe qui pique et testostérone sous les bras.