Franck Nouchi - Le Monde
La mémoire et l’oubli; le pardon et la culpabilité; (...) [le] désenchantement politique joliment captée sur les quais d’un port qui pourrait être celui de Saint-Nazaire: tous ces thèmes irriguent LE COMBAT ORDINAIRE au point d’en faire un film à la fois intéressant et attachant.
Hubert Lizé - Le Parisien
Adapté d'une BD à succès de Manu Larcenet, ce film centré sur le mal de vivre d'un trentenaire en rébellion contre lui-même recèle de très beaux moments. Mais il court trop de lièvres à la fois (...) et s'étiole dans un récit trop souvent confus. Dommage, car Duvauchelle est parfait.
Samuel Douhaire - Télérama
Laurent Tuel (...) adapte avec fidélité, mais sagesse, la magnifique bande dessinée de Manu Larcenet. D'où l'impression d'une illustration soignée, mais vaine... Si l'émotion affleure, c'est grâce aux acteurs. Nicolas Duvauchelle n'a jamais été aussi convaincant.
Barbara Théate - Le Journal du dimanche
Laurent Tuel (...) [signe] une histoire d’amour pudique, sincère, où Nicolas Duvauchelle se révèle surprenant de justesse. Sur fond de lutte ouvrière, de dignité, de liens familiaux, la réalisation visuellement réussie n’évite pourtant pas les longueurs en adoptant un style contemplatif, presque lisse.
Corinne Renou-Nativel - La Croix
Ce COMBAT ORDINAIRE se révèle (...) très attachant. Le mérite en revient d’abord à des comédiens, tous excellents, qu’il s’agisse de Nicolas Duvauchelle, parfait dans le rôle d’un trentenaire bourru et tendre (...) [ou] de Liliane Rovière et Olivier Perrier en parents vieillissants.