Go to main content
4

James White

É.-U. 2015. Drame de Josh Mond avec Christopher Abbott, Cynthia Nixon, Scott Mescudi. Un jeune New-Yorkais à la vie dissolue est amené à prendre soin de sa mère, atteinte d'un cancer en phase terminale. Récit initiatique peu original, mais sincère et direct. Mise en scène naturaliste. Climat étouffant. Interprétation forte et émouvante. (sortie en salle: 4 décembre 2015)

En attente de classement
4

James White (James White)

En attente de classement En attente de classement

É.-U. 2015. Drame de Josh Mond avec Christopher Abbott, Cynthia Nixon, Scott Mescudi.

Un jeune New-Yorkais à la vie dissolue est amené à prendre soin de sa mère, atteinte d'un cancer en phase terminale. Récit initiatique peu original, mais sincère et direct. Mise en scène naturaliste. Climat étouffant. Interprétation forte et émouvante. (sortie en salle: 4 décembre 2015)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Montage :
Sans emploi à 21 ans, James White comble le vide de son existence en écumant les bars de New York et les fêtes décadentes en compagnie de son meilleur ami Nick. Sinon, il dort sur le canapé de l'appartement de sa mère, une ancienne enseignante en rémission d'un cancer. À la mort de son père, cette dernière le presse de se reprendre en main; il décide plutôt d'aller faire le point sur sa vie dans un tout-inclus au Mexique. Là-bas, James s'amourache de la ravissante Jayne, une fille de son âge en vacances avec ses parents. Mais la récréation est de courte durée. Au téléphone, sa mère lui annonce que le cancer a récidivé, et qu'elle est maintenant en phase terminale.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le producteur de MARTHA MARCY MAY MARLENE signe un premier long métrage reposant sur un récit initiatique certes peu original mais sincère, qui pose un regard franc, éprouvant et émouvant, sur la maladie. Scrutant avec finesse et profondeur les développements d'une singulière relation mère-fils, le film avance au gré d'une mise en scène naturaliste, portée par une caméra aux mouvements d'une fébrilité constante, qui induit un sentiment d'étouffement. Le montage équilibré est dynamique, mais la direction photo aux teintes verdâtres manque de précision à certains moments. Bien que défini de façon sommaire, le protagoniste est défendu avec force par un Christopher Abbott (A MOST VIOLENT YEAR) sombre, touchant et dense. Pour sa part, Cynthia Nixon (SEX IN THE CITY) émeut en mère aimante et terrorisée par la faillite de son propre corps.

Texte : Helen Faradji

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3