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Infectée (Maggie)

É.-U. 2015. Drame de Henry Hobson avec Abigail Breslin, Arnold Schwarzenegger, Joely Richardson. Bien que sa fille adolescente soit infectée par un virus qui la transformera en zombie, un fermier refuse de la placer en quarantaine, pour prendre soin d'elle jusqu'à la fin. Drame familial prenant. Habile renouvellement de thèmes de films d'horreur. Intrigue mince. Réalisation atmosphérique. A. Breslin poignante. A. Schwarzenegger étonnamment sobre. (sortie en salle: 8 mai 2015)

13 ans + (horreur)
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Infectée (Maggie)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 2015. Drame de Henry Hobson avec Abigail Breslin, Arnold Schwarzenegger, Joely Richardson.

Bien que sa fille adolescente soit infectée par un virus qui la transformera en zombie, un fermier refuse de la placer en quarantaine, pour prendre soin d'elle jusqu'à la fin. Drame familial prenant. Habile renouvellement de thèmes de films d'horreur. Intrigue mince. Réalisation atmosphérique. A. Breslin poignante. A. Schwarzenegger étonnamment sobre. (sortie en salle: 8 mai 2015)

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Une grave épidémie a transformé en zombies une grande partie de la population des États-Unis. Infectée par le virus, l'adolescente Maggie Vogel n'a que quelques semaines de répit avant de devenir elle aussi une morte-vivante. Refusant de la placer en quarantaine, son père Wade décide de la ramener à la ferme familiale et d'en prendre soin jusqu'à la fin. Et ce, malgré les réticences de son épouse Caroline, belle-mère de la jeune condamnée.

L’AVIS DE MEDIAFILM

En assimilant l'infection virale de l'univers fantaisiste des zombies à une maladie mortelle ancrée dans le réel, le scénariste débutant John Scott 3 a troussé un drame familial intimiste, aux accents tragiques prenants. Bien que très mince, l'intrigue ménage des moments d'horreur efficaces et des scènes d'une tristesse touchante, dont celle entre l'héroïne et son ex-petit ami, lui aussi infecté et sur le point de se transformer. Connu pour sa conception de génériques, notamment de SNOW WHITE AND THE HUNTSMAN et THE LONE RANGER, Henry Hobson signe une première mise en scène très atmosphérique, aux effets de style élégants. Arnold Schwarzenegger joue avec conviction et une étonnante sobriété le père protecteur, face à une Abigail Breslin habitée et poignante, dans un rôle aux antipodes de celui qu'elle tenait dans le délirant ZOMBIELAND. Pour sa part, Joely Richardson confère une grande humanité au personnage ingrat de la belle-mère.

Texte : Louis-Paul Rioux

Revue de presse

Une Place parmi les (morts-)vivants

(...) un récit stagnant qui, malgré les signes initiaux, ne semble pas plus intéresser de donner dans l’allégorie que dans l’horreur pour l’horreur. En l’occurrence, à défaut d’une approche précise, un minimum de complexité narrative aurait fait l’affaire.

Infectée Henry Hobson

A Surprisingly straight drama

While Hobson's smarts are evident here, the picture's uniformly dim visuals and sometimes overplayed sound design are static enough to do a disservice to his work with the cast. In his effort to ensure we take the characters' suffering seriously, he seems loath to offer us any kind of sensory pleasure.

Infectée Henry Hobson

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