É.-U. 2015. Film d'animation de Genndy Tartakovsky . À la naissance de son petit-fils, mi-vampire, mi-humain, Dracula met tout en oeuvre pour qu'il hérite des crocs familiaux. Suite sans grande surprise d'un succès de 2012. Récit simpliste sur l'identité et la différence. Humour gentil et puéril. Péripéties mouvementées mais souvent superflus. Animation de qualité. (sortie en salle: 25 septembre 2015)
À la naissance de son petit-fils, mi-vampire, mi-humain, Dracula met tout en oeuvre pour qu'il hérite des crocs familiaux. Suite sans grande surprise d'un succès de 2012. Récit simpliste sur l'identité et la différence. Humour gentil et puéril. Péripéties mouvementées mais souvent superflus. Animation de qualité. (sortie en salle: 25 septembre 2015)
Cette suite d'un succès de 2012 contient exactement les mêmes ingrédients: humour gentil et puéril, clins d'oeil plutôt lourds aux classiques de l'horreur, récit simpliste et prévisible sur l'identité et la différence, péripéties mouvementées mais souvent superflues, personnages secondaires extravagants mais très accessoires dans l'intrigue, animation de qualité, facture visuelle élaborée et performances vocales colorées. Bref, un divertissement familial anodin, peu mémorable, mais techniquement au point et jamais ennuyeux.
Texte : Louis-Paul Rioux
Christophe Narbonne - Première
Fidèle à son style cartoonesque, Genndy Tartakovsky multiplie les scènes de pur slapstick, tout en déclarant son amour pour les freaks, dans un élan qui n’est pas sans rappeler celui qui animait SHREK 2.
Véronique Trouillet - L'Express
Si les relations parents/enfants y restent conventionnelles, l'inventivité de ce long métrage d'animation réside dans les personnages plus hilarants que jamais (...) et dans le souci apporté aux moindres petits détails. Le rire émane tout autant de l'humour satirique (...) que des gags visuels.
Sandie Angulo Chen - The Washington Post
Working off a predictable script, (...) Genndy Tartakovsky hasn’t created the sort of sequel that eclipses the original. (...) If you enjoy Sandler’s brand of obvious humor and don’t mind noticeable Sony product placements, this inoffensive sequel is, like its predecessor, just enough for a Halloween treat.
Nicolas Didier - Télérama
Cette histoire de coexistence pacifique entre humains et créatures bizarroïdes est rythmée par des gags en rafale, plus inégaux et moins élaborés que chez Pixar. Mais qui finissent, presque à l'usure, par emporter l'adhésion.
Stéphanie Belpèche - Le Journal du dimanche
Si le premier épisode parlait d’émancipation, le deuxième aborde le mariage mixte, le métissage et l’acceptation de l’autre. Malgré un rythme inégal, le film vaut pour son humour et sa galerie de personnages, irrésistibles.