Corinne Renou-Nativel - La Croix
Malgré quelques scènes d’une belle délicatesse, le récit confus et l’interprétation a minima par Nassim Amaouche (...) d’un personnage sans relief alourdissent un long-métrage pourtant à l’évidence sincère et personnel qu’on aurait voulu aimer.
Clémentine Gallot - Libération
La délicate jonction n’opère pas entre le drame familial et identitaire pour ce héros trouble en mal de filiation et la radiographie du maillage kabyle de Belleville. Entre les deux, le film navigue à vue, la mise en scène maîtrisée se voyant adossée à une écriture trop insondable.
Vincent Ostria - L'Humanité
Ça démarre comme un documentaire sur la communauté kabyle de Paris. Puis on bifurque vite vers la fiction. (...) plusieurs époques se mêlent. Ce catapultage permanent fait regretter l’impression première d’une saga scorsesienne sur la “mafia kabyle”.
Jacques Mandelbaum - Le Monde
Pierre Murat - Télérama