É.-U. 2015. Drame de Mike Binder avec Kevin Costner, Octavia Spencer, Jillian Estell. Un avocat alcoolique de Los Angeles se bat pour conserver la garde de sa petite-fille métisse, réclamée par le père naturel, un jeune Noir toxicomane criblé de dettes. Intrigue mélodramatique. Vision à la fois simpliste et aseptisée des relations entre Noirs et Blancs aux États-Unis. Réalisation sans éclat. Bons interprètes. (sortie en salle: 30 janvier 2015)
Général É.-U. 2015. Drame de Mike Binder avec Kevin Costner, Octavia Spencer, Jillian Estell.
Un avocat alcoolique de Los Angeles se bat pour conserver la garde de sa petite-fille métisse, réclamée par le père naturel, un jeune Noir toxicomane criblé de dettes. Intrigue mélodramatique. Vision à la fois simpliste et aseptisée des relations entre Noirs et Blancs aux États-Unis. Réalisation sans éclat. Bons interprètes. (sortie en salle: 30 janvier 2015)
Isabelle Hontebeyrie - Le Journal de Montréal
(...) BLACK OR WHITE surfe allègrement sur les clichés. (...) contrairement à ce que voudrait nous faire penser BLACK OR WHITE, les relations humaines ne se déclinent pas en noir et blamc, mais en teintes subtiles de gris. Et pour la nuance, (...) on repassera.
André Lavoie - Le Devoir
Les écarts socioéconomiques sont épinglés sans nuances, le tout dans un perpétuel va-et-vient entre deux mondes enclavés. (...) Cet aspect aseptisé cristallise toute la démarche de Mike Binder, dans l’ensemble un peu terne, livrée à la façon d’un téléfilm au discours moralisateur.
Lou Lumenick - New York Post
Despite excellent performances by Kevin Costner, Octavia Spencer and other cast members, Mike Binder’s racially tinged custody battle drama BLACK OR WHITE never achieves much in the way of dramatic credibility.
Luc Chaput - Séquences
La confrontation aura (...) lieu en cour car c’est là que le cinéma américain aime bien, par des effets de manche, règler un peu trop rapidement des conflits familiaux ou sociaux. Costner (...) montre qu’il peut encore être un fort acteur mais l’ensemble reste malgré tout dans les tons plutôt gri.
Marc-André Lussier - La Presse
[Le film] emprunte les allures d'un mauvais croisement entre KRAMER VS. KRAMER et DEVINE QUI VIENT DÎNER?. Assez daté dans son approche, le récit a du mal à trouver son ancrage. (...) Ce film se révèle d'autant plus frustrant que la question raciale est aussitôt évacuée dès qu'elle pointe à l'horizon.
Chef-d'oeuvre
Remarquable
Très bon
Bon
Moyen
Pauvre
Minable
