Mathilde Blottière - Télérama
Sans déjouer tous les clichés, son film réussit tout de même à faire passer quelques vérités: la culpabilité ressentie par les victimes, leur tentation de se détruire pour effacer la souillure, l'impunité de nombreux violeurs... Moins percutant que L'AMOUR VIOLÉ, de Yannick Bellon, il y a plus de trente ans.
Didier Péron - Libération
(...) ce drame décrit le calvaire tant physique que psychique d’une jeune femme (...) violée par un collègue de boulot. (...) La performance de l’actrice principale, Marie Denarnaud, retient l’attention plus que la mise en scène elle-même, un peu trop strictement réaliste et sage.
Franck Nouchi - Le Monde
Un film clinique, hyperréaliste et frontal, remarquablement interprété par la jeune Marie Denarnaud. (...) Un film à quatre temps: la vie qui va en dépit de quelques anicroches; (...) le viol; (...) la descente aux enfers qui s'ensuit; la vie qui revient.
Jean-Pierre Lacomme - Le Journal du dimanche
Dans de telles conditions, Audrey Estrougo a (...) réussi un petit miracle. Propos sensible, cadrage soigné, délicat dans son traitement, bouleversant sans être larmoyant, UNE HISTOIRE BANALE n'a rien du brûlot féministe auquel on aurait pu s'attendre.
Pierre Vavasseur - Le Parisien
Tourné en trois semaines avec une radicale économie de moyens (...), ce film uppercut aborde le viol sans effets de manche et raconte le chaos psychologique qui s'ensuit. (...) Entourée de jeunes comédiens tous très justes, Marie Denarnaud incarne avec vérité cette femme aux prises avec sa reconstruction.