Nicolas Didier - Télérama
D'un récit de survie en forêt, (...) le cinéaste tire une parodie de mauvais théâtre contemporain. (...) Dans cette expérience minimaliste, ce qui frappe surtout, c'est le simplisme des concepts: perdus parmi les artifices, les personnages existent à peine, condamnés à l'animalité et à l'incommunicabilité.
Thomas Sotinel - Le Monde
Avec TSILI, l’auteur de KIPPOUR (...) s’est avancé aussi loin que possible dans la conceptualisation de son cinéma. Le texte d’Aharon Appelfeld aurait pourtant été une excellente raison, sinon de revenir sur ses pas, au moins de changer le cours de son cinéma.
Alexandra Schwartzbrod - Libération
C’est un film très minimaliste, voire contemplatif. (...) Tout est fait pour provoquer l’imaginaire du spectateur. (...) La musique n’intervient qu’à la fin, quand la guerre est finie. On rentre dedans ou on ne rentre pas, il faut se laisser embarquer, accepter pour une fois de ne pas être guidé.
Arnaud Schwartz - La Croix
Adaptation libre d’un roman d’Aharon Appelfeld, TSILI évoque, avec très peu de moyens, la survie d’une jeune femme (...) à la fin de la Seconde guerre mondiale. (...) si la première partie du film peut sembler appuyée, la suite (...) se fait toujours plus émouvante, dans une mise en scène parfois proche du théâtre.