En pleine recherche d'emploi, un cadre supérieur prend à la légère les ambitions sportives de son fils de 11 ans qui rêve de devenir joueur de tennis professionnel.
Philippe Lagouche - La Voix du Nord
Signe de grande maîtrise, Stéphane Demoustier sait ouvrir et fermer son film sur des scènes à la fois sèches et compassionnelles, sobres et intenses, émouvantes et dénuées de sensiblerie. (...) À l’image de ses acteurs principaux, (...) authentiques, lumineux, TERRE BATTUE est de ces films-aimants dont on peine à se défaire.
Franck Nouchi - Le Monde
Olivier Gourmet est criant de vérité en «fou du commerce». Valeria Bruni Tedeschi (...) est (...) remarquable en épouse délaissée. Tourné du côté de Villeneuve d’Ascq (Nord), TERRE BATTUE a un lien de parenté évident avec certains films des frères Dardenne.
Hubert Lizé - Le Parisien
Toujours très à son aise dans les rôles en prise avec les réalités sociales, Olivier Gourmet est formidable dans ce personnage de professionnel enthousiaste, et de père assumant tant bien que mal ses responsabilités. Dommage que ce premier long-métrage ait un sérieux handicap: il court trop de lièvres à la fois.
Jacques Morice - Télérama
Les thèmes de la relation père-fils ne sont pas nouveaux, mais en choisissant le sport comme toile de fond, le réalisateur tend le miroir d'une société ultra compétitive, qui n'accepte plus la défaite. D'où la tension sourde, la menace de dérapage fatal qui plane jusqu'au bout...