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Nom de code - Novembre (The November Man)

É.-U. 2014. Drame d'espionnage de Roger Donaldson avec Pierce Brosnan, Olga Kurylenko, Will Patton. Un ex-agent de la CIA, qui a accepté une mission à Moscou impliquant un ambitieux politicien, est pourchassé par ses anciens collègues quand l'opération vire au bain de sang. Adaptation efficace d'un roman de Bill Granger. Intrigue truffée d'invraisemblances mais au rythme haletant. Réalisation de métier. P. Brosnan en grande forme. (sortie en salle: 27 août 2014)

13 ans + (violence, érotisme)
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Nom de code - Novembre (The November Man)

13 ans + (violence, érotisme) 13 ans + (violence, érotisme)

É.-U. 2014. Drame d'espionnage de Roger Donaldson avec Pierce Brosnan, Olga Kurylenko, Will Patton.

Un ex-agent de la CIA, qui a accepté une mission à Moscou impliquant un ambitieux politicien, est pourchassé par ses anciens collègues quand l'opération vire au bain de sang. Adaptation efficace d'un roman de Bill Granger. Intrigue truffée d'invraisemblances mais au rythme haletant. Réalisation de métier. P. Brosnan en grande forme. (sortie en salle: 27 août 2014)

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Coulant des jours paisibles à Lausanne, Peter, agent de la CIA à la retraite, est sollicité par son ancien patron pour une mission à Moscou. Il doit cueillir des informations sensibles sur Fedorov, un politicien russe aspirant à la présidence. Mais l'opération se termine dans un bain de sang. Réalisant qu'il a été manipulé, Peter, par vengeance, garde pour lui le nom d'une informatrice, dont les révélations pourraient entraîner la chute de Fedorov. À Belgrade, l'espion recherche la jeune réfugiée d'origine tchéchène en compagnie d'Alice, une travailleuse sociale qui affirme l'avoir aidée avant de perdre sa trace. Elle-même devient alors la cible des ennemis de Peter, dont un jeune agent que ce dernier a formé avant son départ, et d'une tueuse à la solde de Fedorov.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'Australien Roger Donaldson a signé plusieurs thrillers (NO WAY OUT, 13 DAYS, THE RECRUIT) qui se distinguent davantage par leur efficacité que par leur originalité. Celui-ci ne fait pas exception, offrant une adaptation énergique d'un roman de Bill Granger, "There Are No Spies". La comparaison avec James Bond est inévitable. Et pour cause: Pierce Brosnan, ex-agent 007, endosse ici l'uniforme du héros agent secret à la gâchette facile, quasi invincible, et au langage plein d'ironie. L'intrigue aux ramifications internationales enchaîne les péripéties meurtrières, au mépris de toute vraisemblance. Mais grâce au rythme haletant de la réalisation de Donaldson, ces diverses couleuvres, propres au genre, deviennent plus faciles à avaler. Autre lien commun avec l'univers du célèbre 007: l'Ukrainienne Olga Kurylenko, ancienne Bond girl (QUANTUM OF SOLACE), se révèle ici très convaincante dans le rôle de l'énigmatique Alice.

Texte : André Lavoie

Revue de presse

Un Sous-James Bond

La mise en scène plutôt efficace de Roger Donaldson (...) rejoue les poursuites urbaines à pied ou en voiture vues si souventes fois et ce sans beaucoup de variations intéressantes. [Bref,] (...) un autre film d’espionnage ordinaire bien loin des derniers James Bond.

Nom de code - Novembre Roger Donaldson

Lingering ’90s Bond Nostalgia

Despite frequent use of slow-motion in the fight scenes, (...) the film lacks a single memorable action setpiece, with nearly every conflict settled through brief shootouts or the application of convenient blunt instruments to unsuspecting heads.

Nom de code - Novembre Roger Donaldson

Sans gadgets, avec courbatures

Cet amoncellement de cascades (...) ne se compare pas toujours de manière avantageuse aux dernières incartades de 007. (...) Il constitue toutefois un bon amalgame de performances athlétiques, (...) de secrets bien camouflés [et] de revirements inattendus.

Nom de code - Novembre Roger Donaldson

Brosnan Spies for Uncle Sam, not Her Majesty

Though the film's cat-and-mouse scenes hardly compare to those in a BOURNE movie, they're enjoyable and only occasionally ridiculous. (...) the film offers [Brosnan] (...) opportunities to show just how nasty he can be, even as he's risking life (...) to save a stranger.

Nom de code - Novembre Roger Donaldson

Furieusement efficace

Avec tout juste ce qu'il faut de romance et de drame, de critique des «méchants» Russes, de crocs-en-jambe aux initiatives pas toujours propres des agences de renseignement américaines et d'idéalisme, on obtient un film très plaisant à voir et aux rebondissements astucieux.

Nom de code - Novembre Roger Donaldson

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