É.-U. 2014. Film d'animation de Roberts Gannaway . Après avoir provoqué un grave accident, un avion champion de course aérienne joint les rangs d'une brigade chargée d'éteindre les feux de forêt. Suite ambitieuse et plus aboutie. Récit conventionnel et prévisible. Personnages bien étoffés. Images souvent grandioses. (sortie en salle: 18 juillet 2014)
Après avoir provoqué un grave accident, un avion champion de course aérienne joint les rangs d'une brigade chargée d'éteindre les feux de forêt. Suite ambitieuse et plus aboutie. Récit conventionnel et prévisible. Personnages bien étoffés. Images souvent grandioses. (sortie en salle: 18 juillet 2014)
Sil était originalement destiné au marché du petit écran, le premier épisode de ce dérivé de la série CARS, par son succès multiplateformes, a justifié la production d'un second pour le grand écran. Lequel s'avère plus abouti, au plan esthétique, faisant meilleur usage de la technologie 3D. Les auteurs ont par ailleurs étoffé les personnages, appelés à jongler avec, entre autres préoccupations étonnantes, la mort - une idée qui frôle l'abstraction dans cet univers peuplé d'avions et de bagnoles. Sur le thème du courage, l'ensemble, conventionnel et prévisible mais exécuté avec soin, déroule une succession d'images grandioses. Les plus mémorables, qui montrent des forêts sous l'assaut des flammes, renvoient à l'actualité d'intelligente façon.
Texte : André Lavoie
Chris Knight - The Gazette
Director Roberts Gannaway, a veteran of Disney TV and video releases, can't elevate a lacklustre script that goes through its paces like a tired old horse.
Luc Chaput - Séquences
L'animation en stéréoscopie fonctionne le mieux durant les scènes trépidantes de sauvetage sur un pont en flammes au-dessus d'une vallée encaissée. (...) Certains enfants pourraient d'ailleurs trouver ces séquences un peu terrorisantes.
Sonia Sarfati - La Presse
Bref, avec moins de paresse et plus d'inspiration, ces avions auraient pu entraîner les spectateurs au septième ciel. On embarque plutôt sur un vol sans turbulence ni surprise, plutôt ennuyeux pour qui a plus de 8 ans, et qui reste en rase-mottes.
André Lavoie - Le Devoir
Cet hommage déguisé ne manque pas d’humour (...) et s’impose surtout grâce à cet alignement de pirouettes aériennes sur fond de décors verdoyants, ou dévorés par les flammes — la débauche de couleurs a de quoi séduire.
Judith Plamondon - 24 Heures
Graphiquement impressionnants, les panoramas en 3D donnent l'impression de monter à bord d'un simulateur de vol aérien. Ajoutez à ça une musique rock dense et rythmée, et vous avez un film pour enfants presque sans temps mort.