Christophe Caron - La Voix du Nord
Seules les mélodies de Lilly Wood and the Prick, qui signe la bande originale, donnent du rythme à cette petite bluette en roue libre dont les quelques gags souffrent d’un spectaculaire manque de timing.
Pierre Vavasseur - Le Parisien
S'ensuit une série de séquences (...) lourdingues (...) assorties d'engueulades assourdissantes. (...) Pour le reste, (...) Géraldine Nakache (...) a beau trotter en superbes escarpins sur le pavé parisien, c'est plutôt le bruit des gros sabots qu'on entend.