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Jessabelle

É.-U. 2014. Drame d'horreur de Kevin Greutert avec Sarah Snook, Mark Webber, Joelle Carter. De retour dans la maison de son enfance en Louisiane, une jeune femme en fauteuil roulant est aux prises avec un spectre tourmenté qui lui veut du mal. Mélange convenu de films de fantômes, d'esprits vengeurs et de rites vaudous. Dénouement bâclé. Réalisation technique compétente mais impersonnelle. Photographie soignée. Interprétation correcte.

13 ans + (horreur)
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Jessabelle (Jessabelle)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 2014. Drame d'horreur de Kevin Greutert avec Sarah Snook, Mark Webber, Joelle Carter.

De retour dans la maison de son enfance en Louisiane, une jeune femme en fauteuil roulant est aux prises avec un spectre tourmenté qui lui veut du mal. Mélange convenu de films de fantômes, d'esprits vengeurs et de rites vaudous. Dénouement bâclé. Réalisation technique compétente mais impersonnelle. Photographie soignée. Interprétation correcte.

Genre :
Année :
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Réalisation :
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Montage :
Confinée à un fauteuil roulant depuis un grave accident de la route ayant causé la mort de son petit ami, Jessabelle est contrainte, faute d'argent, à retourner vivre avec son père dans la maison familiale en Louisiane. Installée dans une chambre au rez-de-chaussée, la jeune femme trouve sous le lit une boite contenant des cassettes VHS enregistrées par sa défunte mère. La surprenant en train d'en visionner une, son père Leon entre dans une violente colère et détruit la bande. De lourde, l'atmosphère devient progressivement angoissante pour Jessabelle, car la jeune femme ressent aussi dans la demeure la présence d'un spectre tourmenté qui lui veut du mal.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Monteur des cinq premiers SAW, puis réalisateur des deux derniers, Kevin Greutert poursuit dans la veine du cinéma de genre avec JESSABELLE, troquant toutefois les sous-sols et usines désaffectés pour les bayous louisianais. Imaginée par Robert Ben Garant (les deux premiers NIGHT AT THE MUSEUM), l'intrigue mélange de manière convenue les éléments de films de fantômes, d'esprits vengeurs et de rites vaudous, pour se conclure sur un dénouement particulièrement bâclé. Si l'influence du cinéma d'horreur asiatique est manifeste dans le traitement, la réalisation technique de Greutert demeure plutôt impersonnelle, alors que les décors des bayous sont mal exploités, avec force clichés. À tout le moins, la photographie se révèle soignée et les effets spéciaux sont réussis. Dominée par Sarah Snook, l'interprétation s'avère correcte.

Texte : Olivier Lefébure

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