Fr. 2014. Comédie de Pascal Bourdiaux avec Kev Adams, Franck Dubosc, Nora Arnezeder. Afin d'attirer l'attention d'une camarade de classe, un lycéen timide demande l'aide d'un écrivain qui, 20 ans auparavant, a séduit la mère de la jeune fille. Intrigue légère mais peu subtile sur la séduction et la transmission. Mise en scène tapageuse. Rythme frénétique. Bons interprètes aux prises avec des figures caricaturales. (sortie en salle: 28 mars 2014)
Général Fr. 2014. Comédie de Pascal Bourdiaux avec Kev Adams, Franck Dubosc, Nora Arnezeder.
Afin d'attirer l'attention d'une camarade de classe, un lycéen timide demande l'aide d'un écrivain qui, 20 ans auparavant, a séduit la mère de la jeune fille. Intrigue légère mais peu subtile sur la séduction et la transmission. Mise en scène tapageuse. Rythme frénétique. Bons interprètes aux prises avec des figures caricaturales. (sortie en salle: 28 mars 2014)
Daniel Grivel - Ciné-Feuilles
Cette «comédie» française se veut apparemment un film pour ados. (...) Il est difficile de s'intéresser à des personnages sans consistance et à une histoire où tout sonne faux. Ici, fiston rime - pauvrement - avec bidon.
André Lavoie - Le Devoir
(...) la subtilité et la finesse sont souvent sacrifiées sur l’autel des pitreries tapageuses et autres coups d’éclat. (...) Cette agitation nous inspire (...) la pitié, celle de voir tous ces acteurs s’époumoner pour une intrigue dont les révélations n’étonneront personne.
André Péloquin - Voir
Et si seulement c’était drôle, mais non, même pas! Sans être graphique, l’humour de FISTON demeure particulièrement vulgaire tant il est daté. Les gags sont soient ennuyants (...), soient sexistes (...) ou carrément homophobes.
Stéphanie Vallet - La Presse
Parfois attachant mais sans saveur, (...) Kev Adams (...) est peu crédible en timide maladif et amoureux transi. (...) Si cette comédie générationnelle a le mérite de divertir, elle est du point de vue du scénario et de la réalisation du niveau d'un téléfilm de chaîne câblée.
Martin Morin - 24 Heures
Avec FISTON, on tente de "rire de choses graves" comme la différence, (...) la solitude, mais disons qu'on trempe ses orteils dans l'eau plutôt que d'y sauter à pieds joints. On rigole - parfois -, on voit venir - souvent -, et on oublie tout dès que la lumière de la salle nous rappelle qu'il faut aller jouer dehors.
Hubert Lizé - Le Parisien
Dans cette confrontation intergénéra- tionnelle, (...) tout, absolument tout, sonne faux. Affublé d'une coiffure ridicule, l'humoriste Kev Adams est contraint de surjouer le benêt de service. Quant à Franck Dubosc, il patine dur. (...) Cette comédie qui se voulait drôle et tendre se révèle juste pénible.
Jean-Pierre Lacomme - Le Journal du dimanche
FISTON n’est pas la comédie débridée à laquelle les deux têtes d’affiche pourraient faire croire. (...) Plutôt que des gags hilarants, le réalisateur mise sur l’émotion des rapports quasi filiaux entre le jeune homme et son mentor. Une option pas honteuse en soi mais menée de façon trop paresseuse et artificielle.
Chef-d'oeuvre
Remarquable
Très bon
Bon
Moyen
Pauvre
Minable
