Guillemette Odicino - Télérama
Jalil Lespert est particulièrement convaincant en homme dressé pour tuer (...) et on aime retrouver Tchéky Karyo en vieux truand. (...) Des héros classiques mais transfigurés par une beauté formelle et une mise en scène de la violence à la fois sèche et lyrique.
Franck Nouchi - Le Monde
D'un point de vue scénaristique, l'affaire était (...) compliquée: il s'agissait de faire cohabiter une trame policière relativement classique avec ce qui pourrait ressembler (...) à une tragédie. Mais à trop vouloir dire, le film finit par se perdre.
Sophie Grassin - Le Nouvel Observateur
Tout n’est pas réussi dans ce polar mâtiné de western. (...) Mais le réalisateur, caméra au poing, réussit à trouver des solutions sonores pour ressusciter les traumas d’Alex, à happer la dureté de la ville (...) et à ménager un suspense fait de faux-semblants.
Hubert Lizé - Le Parisien
(...) la performance [de Lespert] face à Tchéky Karyo (...) est remarquable. (...) Avec son physique musculeux d'«addict au sport», (...) [il] n'a eu aucun mal à se glisser dans la peau d'un ex-légionnaire cogneur, sorte de Clint Eastwood solitaire et mutique.
Danielle Attali - Le Journal du dimanche
DE GUERRE LASSE possède des qualités de mise en scène. Mais son scénario s'encombre inutilement de multiples intrigues, qui compliquent tout et trop. (...) Étonnant en ex-légionnaire, (...) [Lespert] donne à ce polar musclé et crépusculaire (...) la puissance de sa rage.