(...) si le film tente de jeter des ponts entre les deux communautés, le commentaire final semble tout de même inviter à une plus grande ouverture envers les Palestiniens. (...) on regrette que Riklis et Kashua n’aient pas réussis à donner plus de couleur à ce film aux ficelles grossièrement tirées qui se révèle finalement ni complètement nuancé, ni complètement intimiste, ni complètement politique.

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Brightly lit lensing by Michael Wiesweg, Riklis’ d.p. on THE SYRIAN BRIDE,  makes everything attractive - arguably too much so, given the themes, though humorous notes are frequently welcome leavening agents.

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(...) contrairement à Amos Gitaï qui (...) n’y va pas de main morte dans ses dénonciations démonstratives, (...) [Eran] Riklis opte pour l’humour noir, la comédie acerbe mêlée adroitement aux codes dramatiques de la fiction. (...) Avec DANCING ARABS, (...) [il] a (...) réalisé, malgré sa simplicité, un de ses films politiques les plus engagés.

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Riklis brings out the best in his actors. Viewers will be swept away by the captivating and credible performances of Israel’s answer to Romeo and Juliet, teen lovers Barhom and Kitzis. (...) Riklis also has a deft directing touch. His heart is in the right place, but he realizes that good intentions not with standing, there are no simple solutions to age-old hostilities.

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Plutôt que de se borner à utiliser l’insoluble conflit israélo-palestinien en guise de toile de fond, le film intègre celui-ci en transformant son protagoniste en une véritable incarnation dudit conflit. (...) DANCING ARABS ne simplifie jamais une question éminemment complexe. L’histoire racontée est, en revanche, limpide. Et fascinante.

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