Favreau (...) établit en filigrane un parallèle entre la position du réalisateur et du chef cuisinier. Ils sont tous les deux confrontés à la critique et agissent dans leurs décisions de tous les jours dans les limites données par le producteur ou le propriétaire du restaurant. Dustin Hoffman, dans ce court rôle, est en forme.

CHEF goes nowhere fast, which will be part of its charm for some, and a mild-to-major irritant for others. (...) Supporting players - including Bobby Cannavale and a not-immediately-recognizable Scarlett Johansson (...) - are well cast in their cameos.

(...) l’auteur ne prend aucun risque avec cette comédie chaleureuse mais prévisible, invraisemblable mais sympathique. Mis en appétit par la promesse d’un plat fin, on se retrouve plutôt devant un «film confort», certes bien «popoté»… mais guère différent de ce que servent les cafétérias hollywoodiennes.

Jon Favreau’s CHEF is a sort of five-course meal stuffed onto a three-course plate: an exposé of the restaurant business, a family drama, a road trip, a slice of food porn (don’t arrive hungry) and possibly a metaphor for Favreau himself.

Véritable feel-good movie, CHEF a tout du film cool avec ses food trucks, ses plats décadents, (...) les musiques cubaines et le chaud soleil de Miami. Heureusement, le réalisateur (...) a saupoudré le tout d'un peu d'émotion en abordant une relation père-fils complexe. D'ailleurs, la complicité entre les deux acteurs est belle à voir.