É.-U. 2014. Comédie sentimentale de Rob Reiner avec Michael Douglas, Diane Keaton, Yaya DaCosta. S'étant vu confier la garde de sa petite-fille, un veuf égocentrique profite de la bonté de sa voisine pour se décharger d'une grande part de ses responsabilités. Variation sur une formule éprouvée. Humour parfois vulgaire. Mise en scène correcte. Interprétation solide de M. Douglas et D. Keaton. (sortie en salle: 25 juillet 2014)
S'étant vu confier la garde de sa petite-fille, un veuf égocentrique profite de la bonté de sa voisine pour se décharger d'une grande part de ses responsabilités. Variation sur une formule éprouvée. Humour parfois vulgaire. Mise en scène correcte. Interprétation solide de M. Douglas et D. Keaton. (sortie en salle: 25 juillet 2014)
Après avoir raconté les amours inattendues de jeunes adultes aux personnalités contrastées dans FLIPPED, Rob Reiner (THE MAGIC OF BELLE ISLE, THE BUCKET LIST) propose une honnête variation sur le même thème, avec cette fois des héros d'âge mûr. La romance entre des personnages attachants, taillés sur mesure pour Michael Douglas et Diane Keaton, n'est pas sans charme. À l'inverse, le recours à la métaphore de la chenille et du papillon pour illustrer la lente transformation intérieure d'un vieil égocentrique manque franchement d'originalité, comme du reste l'ensemble du scénario. Également, l'humour n'est pas toujours de haut niveau. De fait, sa vulgarité intermittente tire vers le bas un film qui compte pourtant des boutades authentiquement drôles.
Texte : Jonathan Guilbault
Caroline Rodgers - La Presse
Sans réinventer la roue ni le cinéma, Rob Reiner signe ici un joli feel-good movie avec juste ce qu'il faut de bons sentiments. Exactement le genre de film que l'on aime voir en été si l'on cherche à éviter les superproductions ultraviolentes.
François Lévesque - Le Devoir
Le film AND SO IT GOES est de ceux qui, parce que tellement ratés, font involon-tairement en sorte que l’esprit du spectateur se met à vagabonder. Une myriade de questions lui passent par la tête, la plupart s’enquérant des motifs qui ont poussé les principaux artisans (...) à se fourvoyer de la sorte.