Les ivrognes se donnent la réplique comme des zombies, lâchant à tour de rôle leurs aphorismes avinés comme autant de lettres mortes. L’effet est des plus tragiques.

• Accès à la publication
• |
• Accès à l'article

La difficulté était d'éviter le théâtre filmé et si les premières minutes réclament une (brève) période d'adaptation, le film enveloppe ensuite le spectateur dans son atmosphère. Les comédiens ont un plaisir visible [avec] ces répliques gouleyantes.

• Accès à la publication
• |
• Accès à l'article

(...) le principal écueil du film de Jean-Michel Ribes: l’accumulation. (...) une brève, par nature courte, n’est pas l’ingrédient idéal du long-métrage.

• Accès à la publication
• |
• Accès à l'article

Le dialogue n'est fait que des «brèves de comptoir», recueillies (...) par Jean-Marie Gourio. (...) L'habileté du cinéaste, c'est d'avoir su, autour de ces répliques, créer un monde. Cabossé. Excentrique. Peuplé de silhouettes magnifiques.

• Accès à la publication
• |
• Accès à l'article

Dans cette mise en scène laborieuse, laide, ringarde, toute la poésie fulgurante de ces instantanés, servie là par une bordée de soûlots, tombe à plat. Malgré quelques saillies, (...) on est vite saturé, fatigué, au bord de l’indigestion et du coma éthylique.

• Accès à la publication
• |
• Accès à l'article