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Assiégés - La Guerre du sang (Ironclad: Battle For Blood)

G.-B. 2014. Aventures de Jonathan English avec Tom Austen, Tom Rhys Harries, Predrag Bjelac. Aidé d'un cousin et de trois mercenaires, un jeune noble anglais tente de repousser une horde d'Écossais sanguinaires qui assiègent le château de son père. Intrigue simpliste prétexte à affrontements sanglants. Décors manquant par moments de vraisemblance. Réalisation médiocre et ridiculement sautillante lors des combats. Interprétation insipide.

13 ans + (violence)
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Assiégés - La Guerre du sang (Ironclad: Battle For Blood)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

G.-B. 2014. Aventures de Jonathan English avec Tom Austen, Tom Rhys Harries, Predrag Bjelac.

Aidé d'un cousin et de trois mercenaires, un jeune noble anglais tente de repousser une horde d'Écossais sanguinaires qui assiègent le château de son père. Intrigue simpliste prétexte à affrontements sanglants. Décors manquant par moments de vraisemblance. Réalisation médiocre et ridiculement sautillante lors des combats. Interprétation insipide.

Gravement blessé lors de l'attaque de son château par une horde d'Écossais sanguinaires, un seigneur anglais demande à son fils d'aller chercher un cousin, valeureux soldat, afin qu'il les aide à combattre l'ennemi. Le retrouvant dans une taverne où il participe à des combats à mains nues, le jeune homme le convainc par l'argent de venir à leur secours. De retour avec ce dernier et trois mercenaires, le jeune noble organise la défense et tente de repousser les assaillants.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Si le premier IRONCLAD (2011) pouvait se vanter d'aligner une brillante distribution, ce second volet n'a pas grand-chose pour lui. Simpliste et racoleuse, l'intrigue, qui n'a rien à voir avec celle de l'épisode précédent, n'est qu'un prétexte à affrontements sanglants que le réalisateur Jonathan English agrémente de ralentis inutiles et de touches graphiques hors propos. Quant aux décors, ils manquent par moments de vraisemblance et trahissent la minceur du budget. Au mieux ordinaire, la réalisation se révèle ridiculement sautillante lors des scènes de combats, le cinéaste confondant rythme et hystérie. L'interprétation insipide vient accentuer la médiocrité de cette épopée moyenâgeuse bas de gamme.

Texte : Olivier Lefébure

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