Fr. 2014. Drame policier de Camille Delamarre avec Paul Walker, David Belle, RZA. En 2018 à Detroit, un policier est contraint de faire équipe avec un malfaiteur pour retrouver dans un quartier malfamé un trafiquant d'armes ayant dérobé une bombe à neutrons. Remake survolté du thriller français "Banlieue 13". Intrigue hautement invraisemblable. Réalisation pétaradante. Interprétation musclée. (sortie en salle: 25 avril 2014)
En 2018 à Detroit, un policier est contraint de faire équipe avec un malfaiteur pour retrouver dans un quartier malfamé un trafiquant d'armes ayant dérobé une bombe à neutrons. Remake survolté du thriller français "Banlieue 13". Intrigue hautement invraisemblable. Réalisation pétaradante. Interprétation musclée. (sortie en salle: 25 avril 2014)
Luc Besson produit ce remake américaine de son thriller français BANLIEUE 13, transférant les commandes de Pierre Morel (TAKEN) à son monteur Camille Delamarre, qui fait ici ses débuts à la mise en scène. Copie conforme de l'original, BRICK MANSIONS offre le même ballet de batailles spectaculaires et de cascades acrobatiques à couper le souffle, destiné à meubler une intrigue faible en calories et hautement invraisemblable, parfois aux limites du risible. Parfaitement à l'aise dans cet univers sentant fort le kérosène et la testostérone, le cascadeur David Belle, qui reprend son personnage de BANLIEUE 13, forme un tandem très musclé avec le regretté Paul Walker (THE FAST AND THE FURIOUS).
Texte : André Lavoie
Justin Chang - Variety
[Walker and Belle] make a fine duo, and while Belle’s performance is marred somewhat by his difficulty with English, Walker seems fully in his element. (...) RZA offers solid backup in a role that becomes markedly less coherent over time.
Élie Castiel - Séquences
Si (...) ASSAUT EXTRÊME a été tourné en partie à Montréal et ses environs, force est de souligner son caractère nettement américain, tant par le montage, d’une remarquable adresse, notamment en ce qui a trait au scènes d’action, et le ton général.
Robert Herring - The Gazette
(...) the film comes five months after Walker's death. (...) his love for action roles comes through clearly in this movie. From the detailed fight scenes to the subtle humour, Walker was in his element. He's as gutsy and charming as ever.
Maude L'Archevêque - La Presse
(...) certains remakes (...) sont si semblables à l'oeuvre d'origine qu'on se questionne sur la pertinence même de faire un nouveau film. ASSAUT EXTRÊME (...) appartient à [cette] catégorie. Luc Besson (...) ne signe pas ici un nouveau scénario ou même une adaptation: il [s'est] contenté de traduire les dialogues et de transposer son histoire à Detroit.