Les scènes de poursuite (...) se révèlent (...) efficaces. D'autant que le réalisateur n'hésite pas à utiliser les symboles les plus célèbres de la Ville lumière. À tel point qu'on pourrait croire par moments ce film commandité par l'Office parisien du tourisme. (...) 3 DAYS TO KILL (...) [est] un divertissement honnête.

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3 DAYS TO KILL is quite literally bloodless - the fight sequences in TAKEN packed a far more potent punch (...) - which seems like a missed opportunity. The juxtaposition of Ethan’s violent work and gentler paternal side might have added some desperately needed intrigue to the banal story.

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Le scénario de Luc Besson n'est qu'une pâle copie de ce à quoi [il] nous a habitués à une autre époque. (...) Le long métrage ne serait pas si mauvais si ce n'était de Costner, qui se prend trop au sérieux, grimaçant, les sourcils froncés dans presque toutes les scènes.

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3 DAYS TO KILL is a saucy triple patty of a cheeseburger slapped on a cinema bun. Designed as a juicy, accessible suspense thriller, the whole exercise feels weirdly plastic from the very first bite...

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Le récit (...) est régi par les principes éprouvés de la peinture à numéros. On sait exactement où l’on s’en va, avec ce que cela comporte de bâillements. Cela dit, (...) l’ensemble est réglé au quart de tour, surtout les nombreuses cascades et fusillades, bien chorégraphiées, quoique (...) peu originales.

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