É.-U. 2013. Comédie d'horreur de Jonathan Levine avec Nicholas Hoult, Teresa Palmer, Analeigh Tipton. Après une attaque, un zombie romantique décide, contre toute attente, de sauver une jeune femme humaine et de la protéger. Variation originale et piquante sur des motifs connus. Quelques longueurs et redondances. Photographie soignée. Montage alerte. N. Hoult touchant et crédible. (sortie en salle: 1 février 2013)
Après une attaque, un zombie romantique décide, contre toute attente, de sauver une jeune femme humaine et de la protéger. Variation originale et piquante sur des motifs connus. Quelques longueurs et redondances. Photographie soignée. Montage alerte. N. Hoult touchant et crédible. (sortie en salle: 1 février 2013)
Apocalypse, zombies, survie... Du classique au parodique, la recette a été servie à toutes les sauces. D'où la surprise de constater que la variation en mode comédie sentimentale proposée par Jonathan Levine (50/50) fonctionne. Invention et humour sont en effet les maîtres mots de cette production mordante, qui démarre sur les chapeaux de roue: montage vif, photographie soignée, écriture originale et piquante citant aussi bien George Romero que Roméo et Juliette. Cela dit, WARM BODIES ne tient pas toutes ses promesses. En deuxième partie, quelques longueurs et redondances alourdissent l'affaire. En zombie amoureux, Nicholas Hoult (ABOUT A BOY, JACK THE GIANT SLAYER) est touchant et crédible. À l'inverse, le registre très limité de sa partenaire Teresa Palmer ne passe pas inaperçu.
Texte : Helen Faradji
Par : H F,
Tourné en partie à Montréal, les amateurs reconnaîtront sur la fin le stade et le belvédère de Westmount.
J'attribue à ce film la Cote