Go to main content
6

Une Belle Journée pour crever (A Good Day to Die Hard)

É.-U. 2013. Thriller de John Moore avec Bruce Willis, Jai Courtney, Sebastian Koch. Venu en Russie aider son fils accusé de meurtre, un policier new-yorkais se retrouve plongé dans un sombre complot politique, qui oppose la CIA et un haut fonctionnaire corrompu. Film de série à l'intrigue périmée. Scénario peu crédible. Montage brouillon. Réalisation désordonnée. B. Willis indifférent. (sortie en salle: 14 février 2013)

13 ans + (violence)
6

Une Belle Journée pour crever (A Good Day to Die Hard)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 2013. Thriller de John Moore avec Bruce Willis, Jai Courtney, Sebastian Koch.

Venu en Russie aider son fils accusé de meurtre, un policier new-yorkais se retrouve plongé dans un sombre complot politique, qui oppose la CIA et un haut fonctionnaire corrompu. Film de série à l'intrigue périmée. Scénario peu crédible. Montage brouillon. Réalisation désordonnée. B. Willis indifférent. (sortie en salle: 14 février 2013)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Musique :
Montage :
À l'annonce de l'arrestation pour meurtre de son fils Jack, le policier new-yorkais John McClane s'envole pour la Russie afin de le sortir du pétrin. Au palais de justice, John se retrouve au beau milieu d'un attentat visant à tuer Komarov, un prisonnier politique contre qui Jack devait témoigner. Dans le chaos, Komarov s'évade grâce au jeune homme, qui se révèle être un agent de la CIA. À l'issue d'une course poursuite sur l'autoroute, Komarov et Jack sont sauvés in extremis par John, qui se joint à eux. Lancé dans Moscou, le trio échappe aux sbires d'un haut fonctionnaire corrompu qui veut la peau de Komarov, détenteur de renseignements compromettants. S'ensuivent fusillades, explosions et trahisons, le tout culminant à la centrale nucléaire de Tchernobyl.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avec son intrigue périmée, cette coûteuse production, cinquième volet de la saga DIE HARD, aurait été plus à sa place au temps de la Guerre froide aux côtés de films tels RED HEAT et ROCKY IV. Peu crédible, le scénario de série B enchaîne les épisodes invraisemblables ponctués de retournements éminemment prévisibles. À la réalisation, John Moore (BEHIND ENNEMY LINES, THE OMEN 666) opte pour la frénésie. Mais son vain écran de fumée vise surtout à masquer la ringardise du récit. Le montage, plus brouillon que dynamique, relève de la même intention. Fermement agrippé au pilote automatique, Bruce Willis offre un jeu à la limite de l'indifférence.

Texte : François Lévesque

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3