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The Returned

Esp. 2013. Drame d'horreur de Manuel Carballo avec Emily Hampshire, Kris Holden-Ried, Shawn Doyle. Dans un monde ayant survécu à une invasion de zombies, le sérum antiviral, qui permet aux personnes infectées de mener une existence normale, vient à manquer. Relecture intimiste du film de zombies. Suspense bien mené. Réalisation adéquate. Effets spéciaux rudimentaires. Jeu des acteurs sobre et efficace. (sortie en salle: 28 mars 2014)

13 ans + (violence, horreur)
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The Returned (The Returned)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

Esp. 2013. Drame d'horreur de Manuel Carballo avec Emily Hampshire, Kris Holden-Ried, Shawn Doyle.

Dans un monde ayant survécu à une invasion de zombies, le sérum antiviral, qui permet aux personnes infectées de mener une existence normale, vient à manquer. Relecture intimiste du film de zombies. Suspense bien mené. Réalisation adéquate. Effets spéciaux rudimentaires. Jeu des acteurs sobre et efficace. (sortie en salle: 28 mars 2014)

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Le monde a survécu à une invasion de zombies grâce à un sérum qui, administré sur une base quotidienne, rend le virus dormant, permettant ainsi aux personnes infectées de mener une existence normale. Médecin en charge de ces patients, Kate est amoureuse de l'un d'eux, le musicien Alex. Confronté aux préjugés envers les personnes contaminées, le couple cache la vérité à son entourage. Lorsque les stocks de sérums viennent à manquer et qu'une nouvelle épidémie de zombies menace d'éclater, la panique s'empare de la population et de nombreux infectés sont assassinés. Prête à tout pour sauver celui qu'elle aime, Kate s'empare des doses restantes et prend la fuite avec lui.

L’AVIS DE MEDIAFILM

En situant l'action dans un monde où le virus peut être contenu et contrôlé, THE RETURNED abandonne l'imaginaire sanglant typique au film de zombies pour en proposer une vision intimiste plutôt inédite. Plus proche du thriller que de l'horreur, le film établit des parallèles avec diverses problématiques sociales actuelles (intolérance, peur de l'autre, VIH, responsabilité collective, etc.), sans toutefois les approfondir de façon toujours satisfaisante. Le récit, qui va de rebondissements en rebondissements, tient le spectateur en haleine jusqu'à la fin, en dépit de quelques incohérences et clichés. La réalisation adéquate est surmontée d'effets spéciaux plutôt rudimentaires et l'interprétation mise avec bonheur sur la sobriété.

Texte : Jonathan Guilbault

Revue de presse

A Zombie Movie Without the Zombies

Director Manuel Carballo seems to be trying for the psychological unease of BLINDNESS, or perhaps of something by Cronenberg, but it's never more than artificial terror wrapped in bland social commentary.

Returned, The Manuel Carballo

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