Frédéric Strauss - Télérama
(...) le réalisateur signe un film simple, accessible et instructif mais pas simplificateur. Le ton est d'ailleurs plus désespéré que dénonciateur. Les portraits n'en sont que plus touchants, qui dépassent la note mélodramatique attendue pour révéler des êtres démunis, fragiles et livrés à eux-mêmes.
Vincent Ostria - Les Inrockuptibles
Il y a quelques facilités à l’américaine, comme ces séquences/résumés très cut, en général accompagnés par une musique passe-partout. En dehors de cela, le film ne cède à aucun cliché dramatique. Restant fidèle à l’âpreté du néoréalisme, il ne s’appuie jamais sur le pathos.
Sheri Linden - The Los Angeles Times
Taking his inspiration from the firsthand account of a father who was already a year into such a search, (...) Richie Mehta has made a film of subdued but mounting panic and grief - an unsentimental portrait of poverty in contemporary India and of a benighted man's efforts to understand the world beyond his workaday struggles.
Franck Nouchi - Le Monde
Malgré d'évidentes maladresses et de lourdeurs de mise en scène, malgré une linéarité chronologique parfois un peu fastidieuse, cette plongée dans la quotidienneté indienne se regarde avec intérêt.
Neil Young - The Hollywood Reporter
Making fine use of evidently real street-locations, with dogs, goats and litter everywhere, the earnestly well-intentioned, pro-education picture is conventionally shot, edited and scored - indeed, Andrew Lockington's music is generally more intrusion than embellishment.
Christophe Carrière - L'Express
Richie Mehta, rompu au documentaire et à la fiction, (...) mêle savamment les deux, en tenant fermement le suspense, tout en filmant la réalité de son pays sans jamais porter de jugement.
Didier Péron - Libération
Les pérégrinations hagardes du père sont autant d’incursions dans ce chaos urbain de l’Inde que Mehta (...) sait parfaitement restituer, ayant principalement tourné en équipe réduite dans les rues, les gares, les fabriques, (...) les marchés de nuit, les «quartiers chauds» aux profils de bas-fonds lugubres et crasseux.