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Pas de cote

Real (Riaru: Kanzen naru kubinagaryû no hi)

Jap. 2013. Drame de Kiyoshi Kurosawa avec Takeru Sato, Haruka Ayase.

En attente de classement
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Real (Riaru: Kanzen naru kubinagaryû no hi)

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Jap. 2013. Drame de Kiyoshi Kurosawa avec Takeru Sato, Haruka Ayase.

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n/d
Interprètes :

Revue de presse

A Quasi-Scientific Fantasy

The f/x-loaded finale is visually arresting, but as a resolution of all these mysteries and dilemmas, it’s tonally out of place, even childlike in a cheesy way. The rest of the film sports an eerily desaturated color palette that blurs the lines of reality while foregrounding the characters’ melancholy.

Real Kiyoshi Kurosawa

Une Fable plombée par un mauvais twist

Si le film prétend explorer ce qui se cache sous cette surface lisse et ennuyeuse, il ne parvient jamais à s’en échapper. Le Cronenberg d’EXISTENZ (...) aurait sûrement fait des merveilles d’un tel sujet; Kiyoshi Kurosawa en tire une fable sommaire et sans mystère.

Real Kiyoshi Kurosawa

Le Coma des mortels

Dans son extrême sophistication, cette investigation d’un paradis vicié (...) alterne purs éclats de brillance et détours plus hasardeux, mais nous renverse ultimement lorsqu’elle épouse un grotesque de fable atomique à la GODZILLA dans un finale d’une beauté, à tous les égards, monstrueuse.

Real Kiyoshi Kurosawa

Entre réalité et hallucinations

La confusion entre réalité et hallucinations contamine peu à peu le spectateur, jusqu'à un coup de théâtre qui, à mi-parcours, remet en cause toute l'intrigue. Paradoxalement, le changement de point de vue qu'entraîne ce retournement spectaculaire affadit le film. L'histoire d'un amour plus fort que la mort prend le dessus sur l'horreur, comme si Kurosawa, après le pessimisme radical de Shokuzai, avait décidé de chasser ses idées noires. Les amateurs de romance avec jeunes comédiens kawai (mignons) seront aux anges. Les autres trouveront ces effluves d'eau de rose trop prononcés
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/cinema/films/real,482238,critique.php#DvxjBjIfptKD8sfy.9fusion entre réalité et hallucinations contamine peu à peu le spectateur, jusqu'à un coup de théâtre qui, à mi-parcours, remet en cause toute l'intrigue. Paradoxalement, le changement de point de vue qu'entraîne ce retournement spectaculaire affadit le film. L'histoire d'un amour plus fort que la mort prend le dessus sur l'horreur, comme si Kurosawa, après le pessimisme radical de Shokuzai, avait décidé de chasser ses idées noires. Les amateurs de romance avec jeunes comédiens kawai (mignons) seront aux anges. Les autres trouveront ces effluves d'eau de rose trop prononcés
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/cinema/films/real,482238,critique.php#DvxjBjIfptKD8sfy.9L'histoire d'un amour plus fort que la mort prend le dessus sur l'horreur, comme si Kurosawa, après le pessimisme radical de Shokuzai, avait décidé de chasser ses idées noires. Les amateurs de romance avec jeunes comédiens kawai (mignons) seront aux anges. Les autres trouveront ces effluves d'eau de rose trop prononcé
La confusion entre réalité et hallucinations contamine peu à peu le spectateur, jusqu'à un coup de théâtre qui, à mi-parcours, remet en cause toute l'intrigue. Paradoxalement, le changement de point de vue qu'entraîne ce retournement spectaculaire affadit le film. L'histoire d'un amour plus fort que la mort prend le dessus sur l'horreur, comme si Kurosawa, après le pessimisme radical de Shokuzai, avait décidé de chasser ses idées noires. Les amateurs de romance avec jeunes comédiens kawai (mignons) seront aux anges. Les autres trouveront ces effluves d'eau de rose trop prononcés
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/cinema/films/real,482238,critique.php#DvxjBjIfptKD8sfy.9
La confusion entre réalité et hallucinations contamine peu à peu le spectateur, jusqu'à un coup de théâtre qui, à mi-parcours, remet en cause toute l'intrigue. Paradoxalement, le changement de point de vue qu'entraîne ce retournement spectaculaire affadit le film. L'histoire d'un amour plus fort que la mort prend le dessus sur l'horreur, comme si Kurosawa, après le pessimisme radical de Shokuzai, avait décidé de chasser ses idées noires. Les amateurs de romance avec jeunes comédiens kawai (mignons) seront aux anges. Les autres trouveront ces effluves d'eau de rose trop prononcés
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/cinema/films/real,482238,critique.php#DvxjBjIfptKD8sfy.99wekfglewuFG

L'histoire d'un amour plus fort que la mort prend le dessus sur l'horreur, comme si Kurosawa, après le pessimisme radical de SHOKUZAI, avait décidé de chasser ses idées noires. Les amateurs de romance avec jeunes comédiens kawai (mignons) seront aux anges. Les autres trouveront ces effluves d'eau de rose trop prononcés.

Real Kiyoshi Kurosawa

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