La confusion entre réalité et hallucinations contamine peu à peu le spectateur, jusqu'à un coup de théâtre qui, à mi-parcours, remet en cause toute l'intrigue. Paradoxalement, le changement de point de vue qu'entraîne ce retournement spectaculaire affadit le film. L'histoire d'un amour plus fort que la mort prend le dessus sur l'horreur, comme si Kurosawa, après le pessimisme radical de
Shokuzai, avait décidé de chasser ses idées noires. Les amateurs de romance avec jeunes comédiens
kawai (mignons) seront aux anges. Les autres trouveront ces effluves d'eau de rose trop prononcés
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/cinema/films/real,482238,critique.php#DvxjBjIfptKD8sfy.9fusion entre réalité et hallucinations contamine peu à peu le spectateur, jusqu'à un coup de théâtre qui, à mi-parcours, remet en cause toute l'intrigue. Paradoxalement, le changement de point de vue qu'entraîne ce retournement spectaculaire affadit le film. L'histoire d'un amour plus fort que la mort prend le dessus sur l'horreur, comme si Kurosawa, après le pessimisme radical de
Shokuzai, avait décidé de chasser ses idées noires. Les amateurs de romance avec jeunes comédiens
kawai (mignons) seront aux anges. Les autres trouveront ces effluves d'eau de rose trop prononcés
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/cinema/films/real,482238,critique.php#DvxjBjIfptKD8sfy.9L'histoire d'un amour plus fort que la mort prend le dessus sur l'horreur, comme si Kurosawa, après le pessimisme radical de
Shokuzai, avait décidé de chasser ses idées noires. Les amateurs de romance avec jeunes comédiens
kawai (mignons) seront aux anges. Les autres trouveront ces effluves d'eau de rose trop prononcé
La confusion entre réalité et hallucinations contamine peu à peu le spectateur, jusqu'à un coup de théâtre qui, à mi-parcours, remet en cause toute l'intrigue. Paradoxalement, le changement de point de vue qu'entraîne ce retournement spectaculaire affadit le film. L'histoire d'un amour plus fort que la mort prend le dessus sur l'horreur, comme si Kurosawa, après le pessimisme radical de
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La confusion entre réalité et hallucinations contamine peu à peu le spectateur, jusqu'à un coup de théâtre qui, à mi-parcours, remet en cause toute l'intrigue. Paradoxalement, le changement de point de vue qu'entraîne ce retournement spectaculaire affadit le film. L'histoire d'un amour plus fort que la mort prend le dessus sur l'horreur, comme si Kurosawa, après le pessimisme radical de
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L'histoire d'un amour plus fort que la mort prend le dessus sur l'horreur, comme si Kurosawa, après le pessimisme radical de SHOKUZAI, avait décidé de chasser ses idées noires. Les amateurs de romance avec jeunes comédiens kawai (mignons) seront aux anges. Les autres trouveront ces effluves d'eau de rose trop prononcés.