Antoine Rochat - Ciné-Feuilles
Ni drame, ni comédie, ni constat social, PUPPYLOVE n'adopte aucun point de vue. (...) La mise en scène du film est simple et frontale, l'intrigue toute linéaire, sans surprises, la réalisatrice se limitant à observer la fragilité de Diane, entraînée par les frasques (...) de son amie.
Jonathan Holland - The Hollywood Reporter
There is no doubting Lehericey's good intentions - she wants to show what it's like for girls whose first involvement with sex has come via Internet pornography. But nuance and indeed credibility are badly lacking in PUPPY LOVE. (...) Characters who are presumed to be English speakers have strangely un-English accents.
Antoine Duplan - Le Temps
Des scènes de sexe ponctuent PUPPYLOVE. Elles sont explicites sans être frontales, érotiques mais pas vulgaires. (...) Ils sont nombreux à trouver PUPPYLOVE (...) supérieur à LA VIE D'ADÈLE. (...) avec ses ombres, ses cruautés, ses troubles, le scénario du «petit film belgo-suisse» s’avère autrement subtil que celui de la Palme d’or.