The film makes pertinent, provocative comments on vigilante justice, and the issues are never simplified in Aaron Guzikowski’s screenplay. (...) The performances also enrich the film. Jackman gives what may be the most intense and satisfying performance of his career.

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La beauté du scénario (...) réside dans le fait que les pièces qui s'ajoutent au puzzle s'insèrent de façon naturelle au récit, sans jamais nuire à la crédibilité du drame. Dans sa réalisation, Denis Villeneuve ne force jamais le trait non plus. Ni sur le plan moral ni sur celui des effets dramatiques, pas plus qu'au chapitre des symboles.

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La facture visuelle est sombre et colle au sujet. (...) Les noeuds de l'intrigue ne sont jamais dévoilés, le réalisateur laissant au spectateur le soin d'assembler lui-même les pièces du casse-tête. (...) PRISONNIERS est (...) un suspense de vie ou de mort qui vous tiendra en haleine.

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"J’ai (...) axé le scénario sur le drame plutôt que le thriller, car j’ai voulu être dans l’intimité des personnages. (...) Tout le monde craignait que personne n’aime le personnage de Hugh Jackman. Ce qui m’importait, c’était que l’on comprenne (...) son désarroi (...) afin qu’on s’identifie au drame épouvantable qu’il vit."

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