Dans les années 1970, un gamin de six ans imagine que sa mère absente parcourt le monde en quête d'aventures. La réalité est cependant moins joyeuse. (sortie en salle: 18 avril 2014)
Stéphanie Belpèche - Le Journal du dimanche
Cette chronique relate avec beaucoup de sensibilité et de délicatesse le quotidien d’un enfant pas comme les autres. (...) Le film, très émouvant, trouve un équilibre parfait entre mélancolie et humour, gravité et insouciance. Une réussite.
Sandrine Marques - Le Monde
C'est avec beaucoup de justesse que les deux réalisateurs de ce joli film d'animation dépeignent le quotidien d'un enfant, dans les années 1970. (...) Raconté du point de vue de l'enfant, le film ne cède pas à la nostalgie. Il donne à voir les traits saillants d'un passé révolu.
Charlotte Moreau - Le Parisien
Publiée en 2007, la BD (...) avait rencontré un joli succès. Six ans plus tard, cette chronique d'enfance arrive sur les écrans, dans une adaptation très fidèle. (...) Certains regretteront une animation «à l'ancienne», mais qui colle bien à cette histoire, drôle, sensible, émouvante.
Jordan Mintzer - The Hollywood Reporter
Adapted from the prizewinning graphic novel, this old-fashioned and realistic story brings to mind such recent Gallic works as AYA OF YOP CITY and ERNEST & CELESTINE (...), tackling a dark subject matter with a mix of fantasy and staidness.
Xavier Leherpeur - Le Nouvel Observateur
Sur des thèmes plutôt graves, (...) le récit fait revivre les années 1970 et dessine, sans pathos et avec une émotion crescendo, la détresse du héros. Le tout porté par une animation au trait délicat (...) ainsi qu’à la palette chromatique mélancolique et joyeuse.
Stéphane Dreyfus - La Croix
En dépit de tous les efforts de mise en scène des réalisateurs, (...) leur film reste dans l’illustration trop sage et retenue du récit autobiographique de Jean Régnaud, douloureux travail de deuil d’un enfant qui a perdu sa mère.
Cécile Mury - Télérama
Le sujet est plutôt grave, mais les réalisateurs le traitent avec fantaisie. De cours de récré en batailles de boule de neige, le ton est vif, drôle, charmant. Quelque part entre Benoît Brisefer et le Petit Nicolas, la bouille toute ronde du héros donne le sourire.