Jap. 2013. Film d'animation de Hayao Miyazaki . Sa vue déficiente l'ayant empêché d'être pilote d'avion, un jeune homme se tourne avec succès vers le génie aéronautique. Vision romancée de la vie de l'ingénieur Jiro Horikoshi. Approche réaliste ponctuée de passages lyriques. Tableaux spectaculaires. Animation gracieuse et raffinée. (sortie en salle: 28 février 2014)
Général Jap. 2013. Film d'animation de Hayao Miyazaki .
Sa vue déficiente l'ayant empêché d'être pilote d'avion, un jeune homme se tourne avec succès vers le génie aéronautique. Vision romancée de la vie de l'ingénieur Jiro Horikoshi. Approche réaliste ponctuée de passages lyriques. Tableaux spectaculaires. Animation gracieuse et raffinée. (sortie en salle: 28 février 2014)
Éric Moreault - Le Soleil
Miyazaki utilise l'animation traditionnelle, (...) avec des ajouts d'images générées par ordinateur, habituellement pour les décors. Pas de nostalgie ici: les images, magnifiques, évoquent la touche des impressionnistes. Il y a une poésie dans le 2D, même un peu surannée, qui est inimitable.
Arnaud Schwartz - La Croix
En dépit [du] contexte, le cinéaste (...) n’a rien perdu de sa capacité à émerveiller, y compris en donnant vie à d’austères plans industriels. Traversé de séquences oniriques, (...) LE VENT SE LÈVE est un voyage dans le Japon d’avant-guerre, sur les traces d’un homme qui n’aspirait qu’à créer de belles machines volantes.
François Lévesque - Le Devoir
Point de compositions luxuriantes à la CHÂTEAU AMBULANT, point de fulgurances chromatiques à la PONYO SUR LA FALAISE. Ici, Miyazaki privilégie une épure formelle (relative) et recourt à une palette aux coloris pastel qui confère une aura nostalgique au film. Lequel ne manque pas de romantisme.
Jean Siag - La Presse
Avec LE VENT SE LÈVE, le réalisateur japonais s'éloigne de son univers fantaisiste, mais sans jamais en sacrifier la part de rêve. (...) Il y a des longueurs, il est vrai, certaines scènes s'étirant sans fin, mais chaque fois, Miyazaki se fait pardonner grâce aux images saisissantes qu'il nous livre avec finesse et émotion.
Katherine Monk - The Gazette
(...) THE WIND RISES contains no computer-generated elements. It’s all drawn by hand, which explains in part why Miyazaki said this would be his last effort. It’s tedious, time-consuming work. But it’s also personal and far more intimate than any digital 3D theme-park ride because it’s splashed with imperfection.
Bruce Kirkland - Le Journal de Montréal
Tous les aspects du film LE VENT SE LÈVE (...) du maître de l'animation Hayao Miyazaki, en font un autre chef-d'oeuvre visuel. C'est envoûtant pour les yeux et douloureusement complexe. Et ça nous rappelle combien son animation peut être sophistiquée.
Guillaume Loison - Le Nouvel Observateur
Dès l'ouverture, (...) le film prend une tournure plus âpre, plus sèche. (...) Ce qui n'empêche aucunement LE VENT SE LÈVE de déployer ses ailes: un mélo sourd hante chaque image, un souffle langoureux, triste comme du Nerval, creuse le lit du récit. Un film somptueux.
Didier Péron - Libération
Le désenchantement [du] film, sa noirceur amère, est (...) en rupture avec la dynamique optimiste qui emportait jusqu’alors les fictions du maître. Comme si sa capacité à naviguer à l’aise dans toutes les épaisseurs du monde, du ciel aux tréfonds de la Terre, (...) était soudain frappée de paralysie.
Chef-d'oeuvre
Remarquable
Très bon
Bon
Moyen
Pauvre
Minable
Par : Daniel Bédard, Montréal
Un chef-d'oeuvre esthétique. Mérite sûrement un surclassement dans une révision éventuelle
J'attribue à ce film la Cote