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Le Dernier Exorcisme II (The Last Exorcism Part II)

É.-U. 2013. Drame d'horreur de Ed Gass-Donnelly avec Ashley Bell, Judd Lormand, Spencer Treat Clark. Une adolescente de la campagne qui a subi un exorcisme et tente depuis de se composer une vie normale en ville se retrouve à nouveau victime de forces maléfiques. Suite répétitive au scénario très mince. Bonne création d'atmosphère. Réalisation étonnamment soignée. Excellente A. Bell. (sortie en salle: 1 mars 2013)

13 ans +
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Le Dernier Exorcisme II (The Last Exorcism Part II)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 2013. Drame d'horreur de Ed Gass-Donnelly avec Ashley Bell, Judd Lormand, Spencer Treat Clark.

Une adolescente de la campagne qui a subi un exorcisme et tente depuis de se composer une vie normale en ville se retrouve à nouveau victime de forces maléfiques. Suite répétitive au scénario très mince. Bonne création d'atmosphère. Réalisation étonnamment soignée. Excellente A. Bell. (sortie en salle: 1 mars 2013)

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Peu après qu'elle eut subi un exorcisme et vu sa famille être décimée par une entité diabolique, Nell Sweetzer est placée dans un centre pour jeunes filles en difficulté. Issue d'un milieu rural très croyant, l'adolescente se familiarise avec les moeurs modernes et tente de se composer une vie normale. À l'hôtel de la Nouvelle-Orléans où elle a déniché un boulot de femme de chambre, elle remarque un confrère de son âge qui, lui aussi, semble s'intéresser à elle. Mais le répit de Nell est de courte durée. Les forces du Mal recommencent en effet à se manifester autour d'elle. Victime d'hallucinations, l'adolescente qui craint d'être à nouveau possédée se tourne vers un groupe d'amateurs de magie blanche.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette suite répétitive repose sur un scénario trop mince pour soutenir l'intérêt durant 90 minutes. Le déficit d'originalité est en partie compensé par le talent du cinéaste pour la création d'atmosphère. Le Canadien Ed Gass-Donnelly (THIS BEAUTIFUL CITY, SMALL TOWN MURDER SONGS) a en effet soigné sa réalisation et relevé avec succès le parti risqué consistant à abandonner le procédé du faux documentaire, qui a contribué au succès du premier film, au profit d'un point de vue narratif omniscient. Dans un ensemble somme toute modeste et inégal, l'excellente Ashley Bell reste un atout gagnant.

Texte : François Lévesque

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