Jean-Pierre Lacomme - Le Journal du dimanche
Le voyage dans le temps est un grand classique du cinéma. Pour son premier film, Germinal Alvarez s’en tire plutôt bien en respectant les lois du genre, entre thriller et fantastique.
Marguerite Debiesse - Les Fiches du Cinéma
Le soin apporté à la lumière, plus ou moins froide selon les époques, et aux décors (...) supporte une réelle ambition formelle. Polar nocturne (...) au fantastique maîtrisé, ce premier film est une très agréable surprise.
Noémie Luciani - Le Monde
Travaillant subtilement sur les variations de décor entre passé et présent, avec une utilisation assez remarquable de la lumière, Germinal Alvarez donne à ses deux acteurs de tête (...) l'occasion d'une performance élégante.
Christophe Carrière - L'Express
(...) les promesses du début, noyées dans un scénario qui vire à l'abscons, ne sont pas tenues. Dommage, car la mise en image de ce premier long n'est pas honteuse.
Nicolas Schaller - Le Nouvel Observateur
(...) un film maladroit (mise en place laborieuse, direction d’acteurs approximative, paradoxes temporels évacués) que l’on sent taraudé par son manque de moyens et par la crainte de ne pas être intelligible (les dialogues sur-explicatifs).